La branche camerounaise de Transparency International a publié Mercredi 9 Décembre 2015, son baromètre 2015 de corruption. A l’analyse du rapport, le fléau ne recule pas au pays de Paul Biya, bien au contraire. En effet, l’étude note que «le Cameroun est le seul pays sur les 28 d’Afrique concernés par le baromètre, où tous les six services publics principaux sont fortement ????», a déploré Me Henry Njoh Manga, membre de Transparency International Cameroun, qui présentait le baromètre. Des informations rapportées par La Nouvelle Expression (LNE) du 10 Décembre 2015.
Les services concernés sont entre autres la police, les impôts, la justice, le gouvernement, les municipalités et le parlement. Dans ce classement peu honorable, la police vient en tête avec plus de 56% de perception. Il faut savoir que la perception de la corruption, selon Transparency International, résulte d’un ensemble de sondages réalisés auprès d’une population déterminée, sur des indices bien précis. C’est en termes simples, l’idée que l’opinion se fait des différents services publics.
Au Cameroun, la police est donc en tête avec 56% de perception, suivie «des agents des impôts (54%). Avec 52%, les hommes d’affaires, devancent de peu la justice (51%). Les membres du gouvernement arrivent au 5ème rang avec 45% ». L’inquiétude, c’est la présence dans ce hit parade des Hommes de Dieu. Ceux qui revendiquent la casquette d’autorités morales arrivent en 10è position avec 18% « pas très loin des écoles à 32% ».
Le sentiment généralisé est donc que la corruption se porte bien au Cameroun. Une impression renforcée par une statistique : «17% des personnes interrogées ne voient pas le changement», souligne Lne. La preuve que les pouvoirs publics et tous les organismes chargés de lutte contre le fléau, ont du pain sur la planche.
La branche camerounaise de Transparency International a publié Mercredi 9 Décembre 2015, son baromètre 2015 de corruption. A l’analyse du rapport, le fléau ne recule pas au pays de Paul Biya, bien au contraire. En effet, l’étude note que «le Cameroun est le seul pays sur les 28 d’Afrique concernés par le baromètre, où tous les six services publics principaux sont fortement ????», a déploré Me Henry Njoh Manga, membre de Transparency International Cameroun, qui présentait le baromètre. Des informations rapportées par La Nouvelle Expression (LNE) du 10 Décembre 2015.
Les services concernés sont entre autres la police, les impôts, la justice, le gouvernement, les municipalités et le parlement. Dans ce classement peu honorable, la police vient en tête avec plus de 56% de perception. Il faut savoir que la perception de la corruption, selon Transparency International, résulte d’un ensemble de sondages réalisés auprès d’une population déterminée, sur des indices bien précis. C’est en termes simples, l’idée que l’opinion se fait des différents services publics.
Au Cameroun, la police est donc en tête avec 56% de perception, suivie «des agents des impôts (54%). Avec 52%, les hommes d’affaires, devancent de peu la justice (51%). Les membres du gouvernement arrivent au 5ème rang avec 45% ». L’inquiétude, c’est la présence dans ce hit parade des Hommes de Dieu. Ceux qui revendiquent la casquette d’autorités morales arrivent en 10è position avec 18% « pas très loin des écoles à 32% ».
Le sentiment généralisé est donc que la corruption se porte bien au Cameroun. Une impression renforcée par une statistique : «17% des personnes interrogées ne voient pas le changement», souligne Lne. La preuve que les pouvoirs publics et tous les organismes chargés de lutte contre le fléau, ont du pain sur la planche.