Un meurtre horrible
Dans l’affaire Ebode Roger, de nouvelles informations ont été données par la famille directe du défunt. En réalité, la victime a été sodomisée par son beau-fils le bourreau.
Le témoignage parvenu à une source qui l’a publié : « Il avait sa première femme avec qui il avait fait les enfants jusqu’à ce qu’elle avait quitté le foyer. Et c’est en ce moment qu’il prend donc une autre femme qui vient en mariage avec son garçon, ce dernier qui vient donc l’assassiner.
Le père est malade depuis longtemps. On dit qu’il avait traversé le remède donc il avait une blessure au pied et ledit remède qu’il aurait dû traverser lors de ses multiples sorties de chasse, donc marcher était devenu un peu compliqué pour lui.
La semaine dernière, ce garçon demande donc de l’argent à son beau-père qui lui fait comprendre qu’il n’en a pas. Et le garçon lui demande comment se fait-il que sa maman demande l’argent, le papa ne donne jamais et à son tour aussi, c’est la même réponse.
Ce garçon fume le chanvre correctement et bien. La scène se déroule entre lundi et mardi où le papa lui dit alors comme tu as vraiment besoin d’argent, prend le fusil et les munitions et on part à la chasse, ils s’en vont non loin de la maison, le gars ayant donc déjà chargé sa carabine, décharge la première balle à l’épaule.
Il envoie la deuxième balle dans la tête et avant de l’assommer de ces coups, il sodomise ce dernier qui n’ayant pas de force pour se défendre et après avoir donc fini son travail, il entraîne donc le corps loin en brousse où il était allé se cacher.
Et lorsque le bourreau arrive au village, il commence à jouer le fou et c’est là que la population le suspecte. On le prend et on l’amène au commissariat à Lobo et c’est lorsqu’on lui administre des violents coups de machette qu’il raconte lui-même ce film d'horreur.
Sa maman, on dirait qu’elle est du côté de son fils et aurait d'ailleurs pris les documents concernant le terrain pour garder, malgré le fait qu'elle a fait des enfants aussi avec le vieux qui sont encore petits ».
