Le village Njijou 2, situé dans l'arrondissement de Melong, département du Moungo dans la région du Littoral du Cameroun, a été le théâtre d'un acte choquant et tragique dans la nuit du 12 octobre 2023. Un homme de 22 ans, Guihlem Kegne, a commis un acte impardonnable en tuant sa propre fille de 2 ans. La raison derrière cet acte atroce est aussi inquiétante que déconcertante.
Guihlem Kegne, dans une quête désespérée pour échapper à la misère, a été conduit à commettre un meurtre brutal qui a choqué la communauté et le pays tout entier. Selon le frère aîné de l'accusé, Guihlem avait rejoint une secte ou une loge qui aurait exigé ce sacrifice macabre en échange de richesse et d'ascension sociale.
L'histoire de Guihlem est un exemple tragique des pratiques dangereuses et malsaines qui se produisent au Cameroun, où certains individus, désespérés par la pauvreté et les difficultés économiques, sont prêts à commettre des actes impensables pour atteindre un statut social plus élevé.
La famille de la victime est naturellement en état de choc, cherchant justice pour le meurtre de leur petite fille. L'accusé, quant à lui, a été appréhendé par les autorités locales et sera bientôt présenté devant le procureur de Nkongsamba pour être jugé.
Cette tragédie démontre la nécessité de sensibiliser sur les dangers des sectes et des loges qui exploitent la vulnérabilité de certaines personnes pour commettre des actes criminels au nom de l'ascension sociale. Les autorités camerounaises doivent prendre des mesures pour lutter contre de telles pratiques et protéger les plus vulnérables de la société, tout en assurant que la justice soit rendue pour cette jeune victime innocente.