Dans un reportage diffusé ce vendredi 22 septembre 2017 au journal de 17 heures du Poste national de la CRTV, le gouverneur de la région du Sud-Ouest a raconté la terrible journée qu’a vécue le chef-lieu du département du Fako, Buea. Bernard Okalia Bilaï a décrit l’action d’individus qui auraient fondu sur tous les symboles de l’Etat camerounais. « Très tôt ce matin, au petit matin, il y a des groupes de gens qui marchaient dans les rues, se dirigeaient vers les services publics pour les attaquer, les bureaux des sous-préfets, des préfets, les postes de gendarmerie et de police, ils arrachaient des drapeaux de la République pour hisser des morceaux de tissu qu’ils brandissaient comme étant des drapeaux de je ne sais d’où. Les forces de sécurité sont intervenues et se sont interposées. Elles ont subi beaucoup de violences, beaucoup d’attaques de ces assaillants ».
Dans un reportage diffusé ce vendredi 22 septembre 2017 au journal de 17 heures du Poste national de la CRTV, le gouverneur de la région du Sud-Ouest a raconté la terrible journée qu’a vécue le chef-lieu du département du Fako, Buea. Bernard Okalia Bilaï a décrit l’action d’individus qui auraient fondu sur tous les symboles de l’Etat camerounais. « Très tôt ce matin, au petit matin, il y a des groupes de gens qui marchaient dans les rues, se dirigeaient vers les services publics pour les attaquer, les bureaux des sous-préfets, des préfets, les postes de gendarmerie et de police, ils arrachaient des drapeaux de la République pour hisser des morceaux de tissu qu’ils brandissaient comme étant des drapeaux de je ne sais d’où. Les forces de sécurité sont intervenues et se sont interposées. Elles ont subi beaucoup de violences, beaucoup d’attaques de ces assaillants ». Ce triste constat dressé, le gouverneur de la région du Sud-Ouest met en garde les élites et les responsables de familles. « Nous n’allons pas continuer de tolérer que les bénéficiaires qui sont ces populations continuent de détruire. Que chacun descende dans sa famille, dans son village arrêter son chien. Si les chiens continuent à aller dans la rue pour mordre, c’est-à-dire détruire, ils vont rencontrer les forces de sécurité », menace l’ancien préfet du département du Wouri.