Célestin Djamen a pris la parole pour défendre Samuel Eto'o, président de la Fédération Camerounaise de Football (Fecafoot), face aux récentes accusations d'éthique de la Confédération Africaine de Football (CAF). Djamen critique vivement la CAF pour son manque de transparence et de procédure, soulignant des lacunes majeures dans l'organisation.
« La CAF n'a pas de commission d'éthique. Si vous n'avez pas de code d'éthique, comment pouvez-vous accabler quelqu'un de 'manque d'éthique'? Il y a quand même un problème. D'ailleurs, quand vous regardez la décision, il n'y a pas de motif. L'article 51 de la FIFA exige que les organisations liées à la FIFA puissent motiver leur décision. Est-ce que donc la CAF a motivé sa décision? Ce n'est que des racolages. »
Ces mots de Djamen remettent en question la légitimité des accusations portées contre Eto'o. Selon lui, l'absence de motifs précis et le manque de transparence dans la décision de la CAF démontrent l'innocence de Samuel Eto'o. Djamen poursuit en exprimant son soutien indéfectible à Eto'o, soulignant son bon travail à la tête de la Fecafoot et souhaitant qu'il obtienne un second mandat.
« Il est encore président de la Fecafoot et je lui souhaite un 2e mandat parce qu'il travaille bien. »