Débauche : un harcèlement de fille tourne au vinaigre dans un snack bar

Les relations de travail entre une employée et son patron ne sont pas toujours saines. Il y a plusieurs cas où des abus sont constatés.

D’ailleurs, ce n’est pas un secret que beaucoup de filles ou de femmes finissent par laisser tomber leur travail parce qu’elles sont constamment harcelées ou trichées par la hiérarchie.

C’est le cas d’une Camerounaise qui a préféré taire son nom dans un témoignage qui est parvenu à la rédaction de CamerounWeb, samedi le 24 décembre 2022.

Le même témoignage est relayé par la plateforme Slaybabe qui écrit comme titre « Confidence : une abonnée en détresse a besoin de votre aide ».

Salut Slaybabe. Je suis une jeune fille de vingt-trois (23) ans qui se bat comme elle peut pour survivre.

Je suis caissière dans un snack bar dans la ville de Douala dans un quartier de la place.

Je subis les harcèlements moraux et physiques de mon employeur de signer une dette que je ne reconnais pas.

Il profite de son pouvoir et son argent pour me menacer lui et son comptable malhonnête qui est chargé de faire les comptes du snack me rendent la vie difficile.

Juste parce que j'ai demandé à démissionner de son entreprise, il m'avait emmenée de force à la brigade pour me faire signer des papiers de reconnaissance de dette.

L'enquêtrice chargée de l'affaire ne m'a du tout aidée, elle ne faisait que faire ce que le monsieur disait sous la pression.

J'ai donc signé une dette de 84 000 francs. J'avais promis de travailler toujours chez le monsieur pour rembourser mes dettes.

Entre-temps, il a recruté un nouveau directeur général qui a décidé de venir avec son équipe de personnel et ce dernier avait cité les noms dans l’ancien personnel qu'il devait faire démissionner et j'en faisais partie.

J'ai été renvoyé par ce directeur général il y a de cela deux (02) semaines.

Depuis lors, le patron ne fait que me menacer de payer son argent, je n'ai personne pour me défendre s’il vous plaît aidez-moi.