Dénonciation : Les journalistes Anglophones de Cam 10 Tv touchent 20 mille fcfa par mois

• Ils sont plusieurs journalistes du desk anglophone qui perçoivent des salaires d'airain

• 20 mille francs cfa par mois c'est ce qui représente leur renumeration

• Des témoignages fustigent le mauvais management du patron



Les journalistes Camerounais d'expression anglaise officiant à la télévision Cam 10 Tv basée au quartier Kondengui à Yaoundé sont au bout du gouffre. Ils sont nombreux qui decrient leur maltraitance au sein de ce média qui s'illustre comme leur cimetière. Entre marginalisation et mauvais traitements salarial tout y passe.

20 mille francs cfa par mois soit 666 fcfa par jour, tel est le salaire mensuel réservés à ces hommes de médias. Selon les informations parvenues à la rédaction de camerounweb.com, ils sont au moins 06 journalistes à cam10 télévision qui a pour prioritaire à Mr Eyebe Junior en service au cabinet civile de la présidence de la République qui subissent cette maltraitance.

<< Nous sommes 06 journalistes au desk anglophones un seul à un contrat et est payé à moins de 100mille francs cfa.

Nous autres c'est à dire les 05 ils nous donne depuis environs 10mois 20mille francs de salaire mensuel parce que nous sommes les anglophones.

Quand on veut parler les dirigeants nous disent que si vous ne voulez pas restez chez vous.

Pourtant les francophones qui font le même travail que nous sont mieux rémunérés

En plus il nous a été exigé de verser 50% des perdiems reçus sur le terrain à cam10

Pendant ce temps Mr Eyebe qui est un simple fonctionnaire changent les voitures chaque jours.

Après on dira que les anglophones dérangent.

Voilà comment nous sommes traités.

Si tout ce que nous disons ici est faux qu'il apporte un démenti avec preuve.

Car les 20mille francs, comme le reste des salaires sont payés à la main contre décharge chez son homme de main qui est le responsable des ressources humaines. >>, nous a rapporté une source interne à Cam 10 Tv.

Il faut souligner que depuis le limogeage de Jean Jacques Ze, cette télévision fait face à des démissions et des licenciements à tête chercheuse.