Christelle Biloa Atangana, âgée de 22 ans a été interpellée par la police lundi dernier pour avoir délibérément diffuser ses propres ébats sexuels sur les réseaux sociaux. Elle est donc poursuivie pour "outrage public à la pudeur", "dépravation des mœurs" etc. C'est hier mardi qu'elle a été présenté au procureur de la République.
Après les formalités d'identification. Bien que l'opinion publique s'opposait à son arrestation, le procureur n'a pas cédé à la pression de la masse mais a plutôt décidé de la placer en détention provisoire.
Nous avons appris que après requalification des motifs, trois chefs d'accusations sont exactement portés contre elle. Il s'agit notamment de de "outrage public à la pudeur" , "outrage public aux moeurs" et "publications obscènes" réprimés par les articles 263,264 et 265 du Nouveau Code de Procédure Pénale.
La mise en cause est poursuivie par le Ministère public à partir de ses vidéos la montrant en plein ébats sexuels publiées par elle-même, des captures d'écran de ses publications à caractère érotique sur facebook et ses nudes qui ont été mis à la disposition du Procureur de la République. Nous avons également appris que certains membres de la société civile comptent déposer une plainte contre elle ces jours.
Ce mercredi en matinée, elle sera dans le bureau du juge d’instruction qui a désormais la charge du dossier pour connaître du fond de cette affaire.
Précisons qu'une enquête est déjà d'ores et déjà ouverte pour retrouver l'une de ses proches dont il est établi qu'elle utilise les comptes de Christelle Biloa Atangana pour procéder à des arnaques en se faisant passer pour cette dernière.
Elle a poussé le bouchon très loin faisant des directs osés, avec à la clé plusieurs pervers qui s'en délectent. Son rêve, être grande influenceuse à l'image de son idole Coco Emilia alias "biscuit de mer".
Avant son arrestation, elle disait avoir une cinquantaine de vidéos des rapports sexuels qu'elle a eus avec les hommes mariés et menaçait de les publier. Ses différents partenaires qui avaient perdu le sommeil respire certainement avec cette arrestation.
Cette situation rappelle bien un cas presque similaire, celui de Samuel Eto'o. L’activiste Max Senior prenant partie dans l'affaire de Cynthia Fiangan s'est directement attaqué à Samuel Eto'o.
« D’apres lui, il y’a tout une industrie pornographique au Cameroun c’est connu de tous et personne ne dit rien c’est normal d’ailleurs, Plusieurs ponte du régime en consomment sans modération mais ils sont prêts à détruire l’avenir d’une petite fille parce qu’elle a fait une bêtise due à l’inconscience et a l’ignorance. « Cette société des privilégiés où la justice sévit seulement quand il faut s’en prendre au plus faible, au plus démunis doit prendre fin. On ne peut plus tolérer une société où la justice est les bras armés des plus forts au détriment des plus faibles. Cette petite a besoin d’être orientée et éduquée, d’où vient-il qu’on veuille l’envoyer en prison ? Pour quel crime ? Je dis non non et NON », a-t-il poursuivi.
Il cite au passage quelques personnes qui ont été au-devant de la scène avec cette même actualité et qui ne sont libres aujourd’hui. « Samuel Eto’o a publié la nudité d’une femme avec qui il a eu une liaison vous n’avez rien fait aujourd’hui il est même président de la Fecafoot. Enganamouit a publié des sexes tapes, vous l’avez laissé sortir du pays. Brenda Biya la fille de Président Paul Biya s’est filmé entrain d’embrasser une fille, vous ne dites rien pourtant la loi camerounaise punis cet acte », a poursuivi l’activiste.
« Vous êtes même allé jusqu’à prendre l’argent du contribuable pour donner à des femmes tribalistes à la Moralité plus que douteuse qui ont publié plusieurs de leurs vidéos à caractère pornographique sur les réseaux sociaux pour qu’elle fassent la « promotion » de la Can total énergies 2021 », poursuit-il avant de prodiguer quelques conseils. » lit-on chez le confrère Actu Cameroun.