Deux jours après l'effondrement tragique d'un immeuble à Douala, le gouvernement camerounais a publié un communiqué par le biais de son porte-parole, René Emmanuel Sadi, exprimant ses condoléances aux victimes. Le bilan actuel fait état de 33 morts et plusieurs blessés graves.
Suite à cette catastrophe, le gouverneur du Littoral s'est rendu sur les lieux pour évaluer la situation. Des instructions fermes ont été données aux municipalités pour recenser les constructions à risques. Le gouvernement promet d'ouvrir une enquête pour déterminer les responsabilités et assure que les auteurs de ce drame répondront devant la justice.
Les secours sont toujours à la recherche de personnes coincées sous les décombres, et les familles des victimes attendent avec anxiété des nouvelles de leurs proches. Parmi les victimes identifiées, on compte Christelle Atangana et sa nounou, tragiquement décédées avec leur enfant.
Des témoins rapportent que de nombreuses personnes ont crié à l'aide pendant des heures après l'effondrement, mais les secours sont arrivés tardivement. Les opérations de déblaiement se poursuivent, et les autorités appellent la population au strict respect des normes et procédures de construction en vigueur dans le pays.
Le drame survenu au lieu-dit "Mobil Guinness" à Ndogbong, dans le 5e arrondissement de Douala, a secoué tout le pays. Le bilan provisoire est encore lourd avec 37 morts et une vingtaine de blessés. Les recherches se poursuivent dans l'espoir de retrouver d'éventuelles autres victimes.
En conclusion, cette tragédie a mis en lumière les problèmes liés à la construction et à la sécurité des bâtiments au Cameroun. Le gouvernement se mobilise pour prendre des mesures et éviter que de tels événements ne se reproduisent à l'avenir. Les pensées et les prières de tout le pays accompagnent les familles des victimes dans cette période de deuil et de douleur.