Jean-Claude Shanda TOMNE a déposé une plainte contre le chef du bureau investigation de RSF pour plusieurs accusations, notamment des mensonges, des dénonciations calomnieuses, de la diffamation, du trouble de l'ordre public, de l'incitation à la haine et à la guerre civile, de l'atteinte à l'image et à la crédibilité de la nation camerounaise, de l'incitation à l'émeute, à la sédition et au renversement des institutions. Le responsable de RSF séjourne actuellement au Cameroun.
La plainte mentionne que Monsieur Froger a prétendu avoir accès aux procès-verbaux des auditions et a ensuite utilisé cette prétention pour formuler des accusations graves qui ont troublé l'ordre public, porté atteinte à l'image et au crédit du pays et instrumentalisé la division, la haine et les instincts de justice populaire.
« Monsieur Froger a manifestement et volontairement opéré une intrusion curieuse dans la conduite des enquêtes en cours en prétextant avoir eu accès aux procès verbaux des auditions. Il a ensuite usé de cette prétention pour formuler des accusations graves qui ont troublé l’ordre public, porte atteinte à l’image et au crédit de notre pays, en même temps qu’elles ont instrumentalisé la division, la haine, ainsi que les instincts de justice populaire » peut-on lire dans la plainte déposée.
Cette situation souligne l'importance de l'intégrité et de la responsabilité dans le journalisme et la divulgation d'informations. Il est crucial de respecter les procédures et les lois en matière de collecte et de diffusion d'informations, ainsi que de garantir l'exactitude et la véracité des informations avant de les publier. Les accusations infondées ou malveillantes peuvent avoir des conséquences néfastes pour les personnes impliquées, la société dans son ensemble et les relations internationales.