Nous évoquions il y a quelques jours, comment un pasteur de la communauté céleste basé à Paris, a fait appel aux gendarmes pour arrêter son ex copine l'ayant abandonné.
Daniel Tjan, puisque c'est de lui qu'il s'agit, n'a pas pu contenir sa rage après avoir été renié. L'événement s'est produit en fin de matinée du 19 septembre dernier.
Après cet épisode, le sieur Tjan Daniel a fait appel à des gendarmes partis de Yaoundé et visiblement « bien mouillés » - non pas par la pluie qui s’abat sur Douala depuis plusieurs jours, mais par des euros frais de Daniel Tjan -, ont élevé une brave dame (nous la nommerons Brigitte), non loin de Barnabé, qui vaquait paisiblement à ses occupations professionnelles.
Plusieurs questions découlent de cette histoire minutieusement préparé contre dame Brigitte, la victime de Daniel Tjan. Les proches de l'affaire se posent assez de questions et dénotent de graves manquements des gendarmes.
« Comment une affaire civile aussi banale, a pu finir à la légion de gendarmerie du centre alors que la concernée vit à Douala et à une adresse fixe?
Comment comprendre que les gendarmes qui doivent obtenir le OK du procureur de la république de Douala dans une commission rogatoire ne l’ aient pas recherché ?
Pourquoi l’accusée n’est pas en possession d’un seul document du dossier qui a conduit à son « enlèvement » ? Que cachent donc les gendarmes qui l’ont auditionnée en procédant ainsi ?
Comment doit-elle justifier son absence auprès de son employeur, sans le moindre document pouvant soutenir son récit de l’affaire kafkaïenne dont elle a fait l’objet ?
Que souhaitait véritablement démontrer monsieur Daniel Tjan à son ex copine ? Sa
puissance de nuisance ? Sa capacité à mobiliser des officiers de haut rang de la légion de gendarmerie ?
Les gendarmes étaient-ils obligés de « se mouiller » pour une telle affaire, juste pour faire plaisir à Daniel Tjan ?
Les gendarmes ne doivent-ils pas s’expliquer devant leur hiérarchie, au regard des manquements graves ayant émaillé cette affaire qu’ils ont conduite ? », ont écrit nos confrères de camer.be.
Comment plusieurs officiers de la légion de la gendarmerie du centre ont pu se faire complices d’un tel enlèvement stupide et inutile d’une dame dont le crime est d’avoir dit non à un mbenguiste qui se prenait pour un intouchable à qui la femme ne saurait dire non?
Et tout ceci sur la base d’une piètre narration mensongère digne d’un imposteur mégalomane.
L’audition de la dame finira par confondre les allégations mensongères de sieur Tjan représenté au Cameroun par son neveu. Elle va être libérée vers 23h passées, tellement il est évident que Monsieur Tjan ne peut pas montrer un seul message de demande d’ouverture de compte à son Ex-Copine pour y déposer de l’argent. Dépanner quelques fois une femme avec qui on entretient une relation amoureuse, est une dette d’après cet imposteur recouvert du manteau d’homme de Dieu.
Brigitte sera libérée très tard dans la soirée. Mais aura été malmenée par des gendarmes voyous qui méritent des demandes d’explications.