Deïdo : des lycéennes produisent une sextape achetée par une télévision de films pour adultes

La folie en milieu éducatif continue dans plusieurs établissements scolaires au Cameroun, malgré les nombreuses réprimandes des encadreurs et la bataille médiatique pour ramener les apprenants à la raison.

De plus en plus de collégiens ou de lycéens confondent les salles au classe à des lieux où tout est permis, avec un laisser-aller total.

Depuis ces dernières heures, une information fait le tour des réseaux sociaux et de quelques médias locaux. La situation est très alarmante.

La source dont nous tenons la nouvelle scandaleuse écrit que « nous apprenons que trente-huit (38) élèves du lycée bilingue de Deïdo ont produit une sextape ».

Deïdo est un quartier de la commune d'arrondissement de Douala I, une subdivision de la Communauté urbaine de Douala au Cameroun.

Cette sextape en milieu scolaire, « ils l’ont vendue à une chaîne de télévision nigériane de films pour adultes. Certains parmi eux sont actuellement incarcérés à la prison centrale de Douala ».

On peut être surpris parce que cela veut dire que les élèves ont encore élevé d’un cran leur capacité à choquer. Eux qui ont déjà habitué le public à des comportements déviants qui n’ont rien à voir avec ceux des personnes qui veulent réussir à l’école et préparer leur avenir.

Les activités sexuelles sont maintenant très fréquentes dans les établissements au Cameroun. On a déjà vu des élèves s’adonner à des pratiques intimes choquantes filmées.

Ce sont par exemple la danse communément appelée le twerk, des embrassades amoureuses, des attouchements osés, des parties de jambes en l’air en groupe, des relations intimes poussées entretenues avec leurs enseignants ou enseignantes, etc.

Mais la nouvelle action est d’une gravité extrême. Les personnes qui se sont prononcées sur l’affaire précisent que ces élèves chérissent la volonté de devenir des acteurs et actrices de films adultes, influencés sans doute par des célébrités dont tout le monde connaît déjà le nom.

Il y a seulement quelques semaines, nous évoquions déjà un cas de gangstérisme à l'école ou la jeune fille a attrapé par le col son enseignant et l’a malmené devant ses camarades tous heureux que celui-ci soit bien corrigé.