Début juin, l’opinion publique nationale a été choquée par la nouvelle du média français le Parisien qui relayait les accusations de viol à l’encontre d’un colonel de l’armée camerounaise en poste à l’ambassade du Cameroun en France. NDZENG MBIDA Bienvenu Désiré a été accusé par sa propre fille de ces faits graves.
La situation en semble plus complexe. A en croire les révélations du média Camer.be, les filles du colonel n’ont jamais accepté l’idée que leur père devenu veuf se remette en couple avec une autre femme. Cette situation serait une source de tension au sein de la famille. Le père de famille avant l’incident, aurait confisqué le téléphone de la fille en question âgée de 16 ans. C’est lorsqu’il lui a remis son appareil qu’elle a envoyé un message à une de ses amis pour accuser son père de viol. Elle serait encouragée dans cette entreprise par sa sœur aînée.
« Le 25 mai, sa fille cadette de 16 ans, que nous nommerons Annette, l'accuse de viol sous l'entremise de sa sœur aînée, Liliane. Les événements qui ont conduit à cette accusation sont chargés de conflits internes, de jalousies et de malentendus. Quelques jours avant, le colonel confisque l'iPhone 11 d'Annette, découvrant des contenus compromettants. La jeune fille, cherchant à récupérer son téléphone, change de comportement, devenant plus serviable, ce qui semble flatter son père.
Le samedi 25 mai, lors d'un barbecue familial à la résidence secondaire de Neuilly-Plaisance, Annette envoie un message à sa copine prétendant avoir été violée par son père. Informée, Liliane réagit violemment, interrompant un moment privé de ses parents pour les accuser et quitter la résidence avec Annette », rapporte le média.
Le colonel fut le premier à informer le Samu qui à son tour a contacté la police. “Terrifié par les accusations de Liliane, le colonel NDZENG contacte le SAMU pour clarifier la situation. Cependant, Annette résiste à l'examen médical, renforçant les doutes sur la véracité de ses accusations. La police, informée par le SAMU, entre en contact avec la belle-mère et le colonel. Respectant la procédure diplomatique, ils vérifient son identité. Malgré les garanties légales offertes par la Convention de Vienne, la police perquisitionne les résidences du colonel les 29 et 30 mai, sans trouver de preuves incriminantes.”, précise Camer.be