Depuis bientôt trois jours, la toile s’affole et l’embarras s’empare de la quasi-totalité des fans de la reine de la musique camerounaise Charlotte Dipanda, étiquetée de lesbienne sur les réseaux sociaux.
De nombreuses photos d’elle ont été publiées et continuent de circuler sur Internet.
L’auteure de la chanson magistrale « Elle n'a pas vu » apparaît dans ces photos en compagnie d’une autre femme, Patricia Essomba, qu’on présente plutôt comme sa partenaire. Une compagne avec qui elle entretiendrait une relation lesbienne.
Malgré l’interpellation des fans pour que l'artiste donne sa version des faits, il n’en sera rien. Et c’est le journaliste Boris Bertolt qui prend sa défense, après avoir dit-il, réalisé une enquête sur l’affaire.
Il révèle que « la fille qu'on voit faire un bisou à Charlotte Dipanda, n'est autre que sa sœur, Patricia Essombo. Elle l'accompagne partout depuis de nombreuses années. La photo a été prise en 2016 dans les loges de l'Olympia à Paris avant un concert Il y a un an. » Information, selon lui, confirmée par plusieurs sources, notamment « deux personnes très proches» de l’artiste.
Boris Bertolt ne s’arrête pas là. Il précise que « les photos nues en circulation sur le réseau social WhatsApp ne sont pas un montage et que ce sont des extraits d'un film pornographique nigérian disponible sur Google ». Des lors, il conclue qu’« il s'agit d'un coup bien préparé ».
« Ce n'est pas Charlotte Dipanda la cible de cette attaque, mais l'un de ses proches qui est en course pour un poste très important dans la République. D'ailleurs ces photos ont commencé à circuler au sein de l'establishment politico – administratif », ajoute Boris Bertolt.
Et le journalise va plus loin en indiquant sur sa page Facebook que « selon les premières investigations, la cabale contre Charlotte Dipanda, qui n'est que la victime d'une lutte de pouvoir aurait été ourdi par les milieux d'affaires dont la cheville ouvrière serait le responsable d'une organisation patronale, très actif sur les réseaux sociaux et dans l'espace public. »