Dernières minutes : terrible nouvelle pour Charles Ndongo à la CRTV, Paul Biya va sévir

L'absence de diffusion du match opposant le Cameroun à la Libye, mardi dernier, a suscité des critiques cinglantes, notamment de la part de Wilfried Ekanga, qui s'interroge ouvertement sur les raisons avancées par Charles Ndongo, directeur général de la Crtv.

La tour d'aluminium du centre Jamot a été prise pour cible par Ekanga, soulignant son incapacité à diffuser le match crucial en raison de montants jugés "trop élevés" par Charles Ndongo. L'ironie perce dans le constat fait par Ekanga sur ceux qui misent encore sur la Siarrtivi en 2023 pour suivre les matchs des Lions Indomptables, soulignant une foi qui mérite d'être saluée.

Dans un contexte où le Cameroun prétend avoir réglé toutes ses dettes et progresse vers l'émergence, les affirmations de difficultés financières de la télévision nationale interpellent. Yves Abama, ardent défenseur du statut de "pays à revenu intermédiaire," se voit ainsi mis au défi d'expliquer comment la Libye, en guerre et divisée, parvient à diffuser le même match à sa population.

L'article souligne également d'autres épisodes récents sur la chaîne, notamment l'interview de Francis Ngannou, déplorant la mainmise médiatique de Charles Ndongo, suggérant une influence compromettante.

Ekanga pointe du doigt l'incohérence des problèmes financiers évoqués lors de difficultés, contrastant avec l'aisance financière lors d'événements tels que la CAN ou les célébrations du 20 mai. L'article dépeint Charles Ndongo comme une "arnaque ambulante" qui, dans un pays sérieux, aurait été évincé de son poste.

À travers le texte d'Ekanga, c'est une charge virulente contre la gestion de la communication nationale et médiatique, mettant en lumière les incohérences et les contradictions qui alimentent le scepticisme quant à la gouvernance du pays.