'Des coups de poings ont été utilisés': nouvelle révélation sur l'évacuation de Cavaye Yeguié

L'évacuation, malgré son état de santé très préoccupant de Cavaye Yeguié Djibril, cache un autre niveau d'un violent bras de fer entre sa famille et des membres de l'Assemblée nationale.

On savait qu'il y a des différents entre les femmes du président de l'Assemblée nationale et son directeur de Cabinet. Mais l'on ne savait pas jusqu'où cette bataille a mené les deux camps.

Une publication de l'homme politique Aboubakar Ousmane Mey, permet de mesurer l'ampleur de ce qui se passe autour de cette évacuation.

"Après une nuit tumultueuse où invectives et coups de poings ont été fortement utilisés entre le camp du DIRCAB Boukar Abdourahim et celui de Fadimatou Cavayé renforcé par les enfants à la résidence du PAN, le voyage par Air-France a été à nouveau annulé Etoudi soutiendrait la dame", écrit l'opposant.

Un projet de mise à mort?

Officiellement, les informations qui nous parviennent disent que la femme de Cavaye qui est censée l'accompagner, n'a pas reçu de visa.

"Les femmes et les enfants du président de l’Assemblee nationale sont entrés en rébellion contre le directeur de cabinet, Boukar Abdourahim, qui non seulement ne souhaitait pas que le président de l’Assemblée nationale soit accompagné de l’une de ses 4 épouses, mais avait privilégié un hôpital en Inde en lieu et place de la France. Depuis le début de cette rocambolesque affaire, la France n’était en réalité qu’une escale. La délégation préparée et conduite par Boukar Abdourahim devait comprendre le député Nkodo Ndang et l’officier de sécurité Mallaya. Aucun enfant, aucune des 4 femmes alors même que Cavaye, atteint d’une forme de démence, est totalement dépendant de l’assistance extérieure. Est-ce que Nkodo DANG peut laver le PAN ou lui faire porter son caleçon ?

C’est la raison pour laquelle la première femme Fadimatou Cavaye a lancé la Fronde. Elle a alerté les autres épouses et les enfants qui n’ignorent pas que le DIRCAB veut prendre le contrôle de leur père et depuis l’Inde et à l’abri des regards, lui faire endosser des décisions à son profit", révèle le très informé Boris Bertolt.