Des dizaines d'éléments de 'NO PITY' préparent une attaque contre l'armée camerounaise

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Wed, 29 Sep 2021 Source: www.camerounweb.com

• Le conflit armé se généralise dans le NOSO

• Les éléments de 'NO PITY' préparent une attaque contre l'armée

• L'intégralité de la vidéo


Un bataillon de combattants sécessionnistes de la « Marine Force de Bambalang » mené par le chef de guerre "General No Pity" lui-même dans un village est en route pour une base de l’armée camerounaise de la région. L’escouade est composée de plusieurs dizaines de combattants lourdement armés se déplaçant à motos.

Dans une vidéo diffusée sur les réseaux ce mercredi 29 septembre 2021, le groupe sécessionniste dénommé « Les forces marines de Bambalang » déclare préparer une contre-stratégie contre le déploiement des éléments de l’armée camerounaise dans la localité en prévision à la célébration du 1er octobre, date anniversaire de la « proclamation de l’indépendance de l’Ambazonie ».

Selon le message diffusé, le groupe sécessionniste dit avoir pris toutes les mesures en vue d’assurer la sécurité de tous ses éléments.



Il faut souligner que, discret depuis l'apparition du tout puissant chef de guerre "General NO PITY", l'autre chef de guerre dénommé "Field Marshall" a fait une sortie qui provoque la sueur froide au sein de l'opinion publique camerounaise.

Dans une vidéo, devenue virale sur les réseaux sociaux, celui qui s'est autoproclamé "président de Labialem" procède à la formation de plusieurs combattants sécessionnistes aux techniques de guerre. Selon une source sécuritaire, jointe par la rédaction de CamerounWeb, le groupe de commandos dénommé "Seal Force of BSCFR" préparerait d'imminents affrontements avec les militaires de l'armée camerounaise déployés dans la région depuis l'attaque meurtrière qui a coûté la vie plus d'une quinzaine d'éléments du Bataillon d'Intervention Rapide (BIR).

La même source précise que les sécessionnistes entendent commémorer le 1er octobre, date anniversaire de la "proclamation de l'indépendance de l'Ambazonie", par des attaques contre les symboles de la République camerounaise dans la région.

Source: www.camerounweb.com