Dictature : le Cameroun de nouveau frappé par un coup dur, alerte rouge

L'année nouvelle 2023 est proche. Tous les gouvernements s'apprêtent à entamer une nouvelle marche vers le développement.

Le Cameroun a déjà une idée de la loi des finances exercice 2023. Mais elle ne convainc pas beaucoup de personnes.

Le web journaliste Michel Bien Tong fait partie de celles-là. Il a fait un post jeudi le 08 décembre 2022 pour parler de la loi des finances qu'il qualifie d'une autre forme de banditisme gouvernemental.

À propos de la loi des finances de 2023

C’est à travers la nouvelle loi des finances de 2023 que l’on confirme tout le mal qu’on pense du vieux dictateur Paul Biya et de sa clique.

Des hommes cyniques, pervers, méchants et dédaigneux du pauvre citoyen déjà littéralement écrasé par le coût de la vie.

Pour rembourser la dette tant intérieure qu’extérieure, pour engraisser une élite politico-administrative médiocre, promue davantage du fait de son soutien au RDPC qu’à sa compétence, il faut racler le fond du porte-monnaie du pauvre contribuable camerounais.

Pendant que le Camerounais ploie sous une fiscalité agressive (bien entendu, les salaires des fonctionnaires demeurent en l’état), l’Etat s’endette auprès de la Chine, du Japon, de la Corée du Sud ou de l’Inde pour construire routes, hôpitaux, écoles, barrages, point d’eau, etc.

Malgré cette pression fiscale, l’accès aux soins de santé et à l’éducation demeure à la charge du pauvre peuple camerounais.

Toutefois, l’homme camerounais n’est pas à plaindre. Il a décidé de s’accommoder de dirigeants voyous, délinquants, arrogants, corrompus et peu soucieux de leurs misères et souffrances plutôt que de les faire tomber à travers une insurrection populaire. Qu’il assume simplement ses choix sans faire de bruits.