Que les relations de travail peuvent être délicates entre les patrons d’entreprises et leurs employées ! La plupart du temps, ça débouche sur des avances et la fin de l’histoire est souvent malheureuse, que la travailleuse accepte ou non les avances.
Si elle accepte, le patron obtient ce qu’il voulait jusqu’à ce qu’il en soit lassé et la jette comme une malpropre.
Si la principale concernée refuse de céder aux tentatives de séduction du chef, les chances qu’elle perde son job sont grandes.
C’est tout craché l’histoire de la citoyenne ci-dessous : « Après huit (08) ans de service une dame se retrouve au chômage parce qu'elle a refusé la proposition de mariage de son patron ».
La source Griote ajoute sur les réseaux sociaux que « Doriane dit que ce dernier lui a demandé soit de devenir sa femme soit de démissionner. Elle a opté pour la démission ».
Douala : la gravité de son délit amène son patron à proposer une somme hallucinante à celui qui la retrouve
La supercherie est à son paroxysme dans la ville économique Douala où les victimes deviennent de plus en plus nombreuses. On croirait être dans une jungle où tous les coups tordus sont permis, à condition de s’en sortir et de mettre l’autre à terre. Vol, viol, assassinat, kidnapping, etc. tout se passe de jour comme de nuit.
Il faut maintenant une vigilance accrue – et parfois même la paranoïa – pour ne pas tomber dans les pièges tendus par les criminels pour faire du mal. Nous apprenons à l’instant qu’au marché Mboppi à Douala, il s’est produit un fait très grave.
« Une femme engagée dans une structure de transaction d'argent vole trois millions (3 000 000) de francs CFA et prend une violente tangente. Comme le dit la métaphore : "c'est en faisant tomber l'argent que l'on sait si la femme obèse peut courir" », écrit le lanceur d’alertes Nzui Manto.
L’informateur continue que « pas certain que dame Ngoumou Josephine Yolande recherchée par tous les services de police de la capitale économique me dira le contraire. L'ancienne caissière de la boulangerie d'Akwa, habituée à caresser les billets à son ancien poste, était depuis plusieurs semaines employée dans un kiosque de transactions de fortes sommes d'argent au marché Mboppi ».
Tout de même « mama José, comme l'appelaient affectueusement les clients y compris son patron incarnait des valeurs rares d'honnêteté et de respect faisant d'elle une espèce rare en voie de disparition ».
« "C'est dans un grand corps que se trouve un grand saint esprit" se félicitait continuellement le propriétaire du commerce ignorant qu'une baleine en colère peut couler un paquebot. C'est d'ailleurs ce qui fut lorsque mama José profitant de l'absence de son patron, balaya le contenu de la caisse puis prend la tangente avec quelques trois millions de de francs CFA », relate avec beaucoup de sarcasme Manto.
« Le propriétaire, feinté par un AVC ce matin offre 500 000 francs CFA à toute personne fournissant les informations pouvant mener à la capture de mama Joséphine », apprend-on.