Ne dit on pas souvent, 99 jours pour le bandit mais 1 seul jour pour le grand patron ?. Le quartier Mambanda à Douala, habitué des faits, était envahi par des jeunes venus de toutes les maisons environnantes, attirés en ces lieux par les cris d’une femme mariée.
#DameA.d Hier soir à 23 h 55, la dame A.D était chez sa copine Marietou pour les préparatifs du mariage de cette dernière qui sera célébrée le week-end prochain (15/05/2016, ndlr).
Souvent, à cette heure, son mari Adamou. D est au lit. Mais, pour cette fameuse soirée du 12 mai, A.D ne trouve pas son mari dans la chambre conjugale. Soupçonnant quelque chose, la dame va à la recherche de son époux. A sa grande surprise, elle le surprend au lieu dit « Point d’Achèvement » en train de s'achever dans les pleins ébats avec une voisine.
Ne sachant que faire, la dame A.D rejoint tranquillement et sur la pointe des pieds, ses copines dans la villa du quartier où les femmes préparaient les repas de la fête du week end
Arrivée sur les lieux, certaines de ses amies, qu’elle avait mises au parfum de sa désolante trouvaille, lui recommandent d’appeler la police, tandis que d’autres, plus radicales, lui proposent de verser de l’huile chaude dans les parties intimes de son mari pour le rendre impuissant pour l’éternité.
La deuxième proposition semble être la meilleure pour elle. Sans retenue, A.D a rempli un petit récipient d’huile chaude et s’est dirigé vers le lieu de la macabre trouvaille avec ses amies.
Sur le chemin, par la suite, du fait des nombreux propos qualifiés d’incorrectes de ses amies, A.D décide d’y aller seule , toujours avec son récipient rempli à moitié d’huile chaude.
Arrivée, une nouvelle fois, sur les lieux, la dame ne pouvait plus se retenir, car son époux était toujours prisonnier des belles jambes de la voisine.
Devant le comptoir des commerçants sur lequel les amoureux de circonstance se trouvaient, A.D a poussé un petit grincement de dent, ce qui a permis à son mari de se lever précipitamment pour porter ses habits. Lorsque le mari lui a tourné le dos, laissant entendre qu’il n’a eu aucun lien sexuel avec cette voisine, A.D a vidé le contenu de son récipient sur celui qui venait de la cocufier.
Ce vendredi matin, aux environs de 7h, des cris ont été entendus dans le quartier des éleveurs, plus particulièrement dans la maison conjugale, où la dame a été violemment battue par son mari, qui lui demande par la même occasion, de renter chez elle, jusqu’à ce que le problème soit définitivement réglé. Ce que la dame a rejeté. Une plainte sera déposée, dans les jours à venir, par la famille d’A.D, contre Adamou D, qui a voulu passer l’affaire sous silence.
Dans une situation comme celle-ci, est-il facile de se retenir quand on retrouve son époux ou son épouse en train de s'amouracher avec un voisin ou une voisine? Telle est la question lancinante que se pose depuis hier soir les habitants du quartier Mambanda. Pendant ce temps, cette histoire est en train d’animer les conversations dans les gargotes du coin. Comme quoi, il ne faut jamais tromper son époux ou son épouse. A vendredi