Dans la métropole économique, une journaliste Rechercher journaliste stagiaire de Sweet FM, -une radio privée basée à Douala-, a été forcée de se déshabiller, par la sécurité de l'hôpital gynéco obstétrique de Douala (HGOD).
L'affaire est dévoilée par des journalistes basés à Douala, la métropole économique du pays. Plus précisément, par la chef de chaine de Sweet FM, Clarence Yongo.
"Mise en mission par sa hiérarchie, qui travaille sur une enquête des bébés retenus à la couveuse de l'HGOD, pour non paiement des frais d'hospitalisation, par les génitrices, une infirmière a alerté sa hiérarchie de la présence irrégulière d'une journaliste Rechercher journaliste dans l'enceinte de l'établissement hospitalier", rapporte Clarence Y.
"À son tour, la hiérarchie a appelé la brigade de gendarmerie de Yassa, qui est descendue sur les lieux et à interpeller Jacky Tchamko journaliste Rechercher journaliste à Sweet FM", poursuit elle.
La jeune journaliste, apprend on, a été forcée de se déshabiller. De se mettre à poils! Selon la hiérarchie de l'HGOD, la journaliste Rechercher journaliste n'avait pas l'autorisation de mener une enquête dans cette structure hospitalière présentée comme un fleuron du système sanitaire camerounais.
Le syndicat national des journalistes du Cameroun (SNJC), principal regroupement des journalistes et hommes de médias, proteste contre ce qu'il qualifie de violations des droits de l'homme et menace d'ester en justice.
Cette nouvelle affaire, intervient dans un contexte où les relations médecins et public, ne sont pas au beau fixe, depuis le déclenchement de l'affaire Monique koumatekel, la femme morte en couche à l'hôpital Laquintinie de Douala, en mars 2016.