C'est un temps difficiles pour les populations de Douala ce dimanche 1er janvier, jour de Nouvel an. En effet des tirs ont été entendus ce dimanche.
Un élément du GSO s'enfuit à Yaoundé après avoir ouvert le feu à 2 reprises et abattu un jeune homme.
La jeune victime Djomgoue Sharon et ses amis s'étaient rendus au snack "le selfie" situé au centre équestre à l'occasion de la fête du nouvel an.
À peine installés une bagarre va éclater à proximité du lieu où Djomgoue se trouvait incitant ainsi la curiosité de ce dernier qui rendu sur les lieux deviendra la cible de trois coups de feu tirés par un membre des forces de défense et du GSO.
Atteint par deux balles à l'épaule et aux côtes, Djomgoue Sharon va rendre l'âme plus tard à l'hôpital de district de Bonassama.
Le criminel va réussir à prendre la fuite en direction de Yaoundé après une traque à l'homme lancée par les populations au quartier Nkomba où s'était réfugié son ami.
Bain de sang : il égorge son père en pleine fête de Noël à Bandjoun
Consternation et émoi à Bandjoun. Un jeune de 22 ans a eu le courage d'assassiner son père qui refusait de lui donner l'argent des fêtes. Après son forfait, il dépouille son cadavre et s'en va boire ses bières dans un bar du quartier.
Tout s'est vite passé le 25 décembre dernier, jour des festivités de la nativité quand le jeune homme âgé de 22 ans, ne supportant pas l'idée de passer Noël les poches trouées avait fondé tous ses derniers espoirs sur son père à qui il attendait un geste qui sauve.
Mais face au refus du papa de lui accorder la moindre pièce, le jeune homme fou de colère va se saisir d'une pierre et assommer son géniteur à l'arrière du crâne alors que ce dernier s'apprêtait à prendre son bain.
Le crime commis, le jeune meurtrier déplacera la dépouille de sa victime dans le lit de la chambre question de maquiller son acte avant de braquer à nouveau le cadavre de son père emportant le portefeuille de ce dernier, butin de sa convoitise. Comme si rien n'était, le jeune criminel va se rendre dans un bar du coin où il prendra une bonne Magnan bien glacée, les pieds croisés chantonnant les paroles d'une chanson bien connue :
"Aidez-moi oh quand je suis en vie, sauvez-moi quand je suis encore ici, n'attendez pas le jour de ma mort oh pour m'acheter la Kadji..."
Alors que toute la famille croyait le papa parti dans son sommeil, un rapport de l'hôpital où se trouvait la dépouille indiquera que la victime a été atteinte par une pierre à l'arrière du crâne. La suite, dans un commissariat de la ville où le jeune criminel passera aux aveux.