Douala: il devrait laver la voiture d'un riche client, mais il vole 4 millions dedans et s'enfuit

Un jeune homme du nom de Nsangou Zena, employé dans une laverie de voitures à dénommée "Onze devant Onze", située à Bonabéri, vole 4 millions de FCFA dans la voiture d'un client.

Nsangou Zena est actuellement recherché par la police. D'après les faits rapportés par l'activiste N'zui Manto, il venait de recevoir l'un des premiers clients de la journée. Pendant qu'il lavait l'intérieur de la voiture avec soins, il trouve une enveloppe contenant beaucoup d'argent.

Nsangou ne réfléchit pas par deux fois, avant de prendre cette enveloppe et réussit à fondre dans la nature.

Ci-dessous, les faits tels que rapportés par l'activiste avec l'humour et le style propre à lui



"Trois heures après le chant matinal du coq, le soleil arrose la capitale économique du Cameroun. À la laverie "Onze devant Onze située à Bonaberi, le jour qui se lève est la confirmation que le vie continue. Beignet en main, Nsangou Zena ici en image expulse la dernière cuillère de haricot dans sa gorge lorsque se pointe un client demandant urgemment un lavage complet.

Le jeune homme après une lutte acharnée contre ses collègues réussi à s'imposer grâce à son verbe mielleux: "La mère à chaque fois que je lave la voiture d'un client la police lui demande la facture lors du contrôle. Pasque c'est propre jousska et on croit que c'est une voiture occasion Canada."

Rassurée, la propriétaire du véhicule va s'absenter quelques minutes le temps de se désaltérer dans une épicerie à quelques pas de là. Le laveur plongeant ses mains dans la boîte à gants découvrira alors un sac contenant la somme de 4 millions de FCFA ! Celui-ci ira voir ses collègues leur annonçant être victime d'une soudaine diarrhée nécessitant qu'il cède provisoirement son poste.

L'homme n'étant rien sans jambes, Nsangou prendra une violente tangente justifiant sa course par des cacas faisant pression. La propriétaire de retour, constatant les faits s'est réveillée 1h plus tard sous un maque à oxygène dans un centre de santé du coin".