• Une affaire d’escroquerie a éclaté en ville
• Les habitants n’en reviennent pas du tout
• Une femme et sa mère sont impliquées dans le coup
Plus les jours passent et les escrocs gagnent du terrain au Cameroun. La tricherie et le vol sont devenus monnaie courante dans le pays. Certaines personnes mal intentionnées sont arrêtées, d’autres s’en sortent avec beaucoup plus de chance.
C’est une nouvelle histoire qui éclate à Bonamoussadi, un quartier de la commune d'arrondissement de Douala V, subdivision de la communauté urbaine de Douala.
Une source qui est allée à la pêche de l’information raconte qu’une une femme et sa maman ont subtilisé plus de trois (03) millions de francs aux « mougous » dans une affaire de location.
Dans les faits, « alors qu'elles étaient chargées par la propriétaire d'un immeuble résidant aux Etats-Unis de veiller sur son bien, la nommée Njampou Christelle et sa maman vont tout simplement appliquer la formule gagnante de l'heure "Damba na sense, la vie c'est les schémas" », explique l’informateur.
La source qui n’est autre que N’Zui Manto ajoute que les deux (02) femmes « vont louer des chambres et autres pièces de l'immeuble à plusieurs personnes à qui elles laveront avec repassage plus de 03 millions de francs CFA promettant à ces derniers d'engager des travaux. Après plusieurs jours, semaines et mois de rythmage, les mougous se rendront à l'immeuble et rencontreront d'autres mougous accompagnés de gendarmes venus eux-mêmes pleurer le deuil.
Chapta one : Mesdames nous sommes devant chez vous !
- Oui oui nous sommes au niveau du virage.
Chapta two : Vous êtes à quel niveau ?
- Il y a un dos d'âne là, dès que notre taxi traverse ça vous allez nous voir.
Chapta three : Depuis 02 heures de temps que le taxi est sur le dos d'âne ?
- Donc vous ne croyez pas ?
Chapta four : C'est votre taxi qui clignote là-bas ?
- L'ambulance ne sera jamais le taxi ! Allez porter plainte.
L'un des mougous offre 50 000 francs CFA à toute personne ayant des informations pouvant permettre à localiser les feywomen ». Le narrateur s’en rigole.