• Tout est parti d’une dispute
• La dame a tué de sang-froid son mari
• Elle est introuvable
La capitale économique du Cameroun vient d’être frappée par un nouveau drame. Alors que les voix s’élèvent pour défendre le droit des femmes victimes de violence conjugale, certaines femmes se distinguent de plus en plus par leur propension à user de la violence envers leur mari. Certaines franchissement d’ailleurs le pas en allant vers l’extrême. C’est le cas de cette dernière qui vient de commettre l’irréparable à Douala.
Selon le lanceur d’alerte Nzui Manto, la dame en question, dont rien n’a filtré sur son identité, si ce n’est sa photo, a littéralement planté un couteau dans le ventre de son mari. « La femme s'est servie d'un couteau contre son époux lors d'une tension de couple avant de disparaître dans la nature. Les tentatives de retrouver la meurtrière sont restées pour le moment vaines », a publié le lanceur d’alerte.
Ces cas de violence deviennent de plus en plus récurrents dans la société camerounaise et doit en réalité questionner les autorités à prendre des mesures idoines pour éviter ces drames qui sont souvent liés à des disputes bénignes.
Un homme de 44 ans égorgé au quartier Ndogpassi à Douala
Le week-end n’a pas été gai dans le quartier Ndogpassi à Douala. Un homme de 44 ans a été égorgé au quartier Ndogpassi à Douala 3e. Le nommé Abessolo David âgé de 44ans a été égorgé près de son domicile par des personnes inconnues. C'était dans la nuit de samedi à dimanche. Abessolo a été tué alors qu’il revenait d'un voyage. Malgré ces cris, ses agresseurs n’ont pas été empêchés de faire leur sale besogne. Pour le moment on ignore encore ce qui a pu motiver cet acte odieux. Mais à la lecture des évènements on soupçonne une main criminelle. Une enquête a été ouverte pour comprendre les circonstances qui ont conduit à la mort de ce père de 4 enfants.
Le quartier Ndogpassi est reputté pour ce genre de crime. En novembre dernier, le corps d’un individu non identifié avait été découvert devant une maison en chantier du côté de Village entrée lycée à Douala au lieudit « Montée Mbete » en allant au lycée de Nylon Ndogpassi.
L’homme en question avait été éliminé par une foule pour avoir volé trois sacs de ciment, avait appris Camerounweb.com des sources concordantes.
Même les autorités sont accusées de meurtre dans la ville de Douala. On se souvient qu’un homme agé de 27 ans, Jamil Mouliom était décédé le 7 octobre dernier après trois jours de garde à vue. L’affaire avait défrayé la chronique après la mort controversée d’un suspect à la brigade de gendarmerie de Mboppi. D’après nos confrères d’Equinoxe Télévision, Jamil Mouliom avait été déclaré mort dans ladite brigade le 7 octobre après trois jours de garde à vue. Le jeune homme de 27 ans, conducteur de mototaxi était soupçonné d’être impliqué dans une agression le 30 septembre au quartier Pk 5 dans l’arrondissement de Douala 2. Il a été interpellé le 4 octobre à la suite d’une plainte déposée contre lui.