Ceci est un témoignage d’un proche qui a contacté le lanceur d’alerte N’zui Manto.
"Je suis camerounais de mère et guinéen (Conakry) de père je suis né et j’ai grandi au Cameroun, je ne pourrais donner ma situation géographique actuelle pour des raisons de sécurité.
En effet hier il y’a eu un drame au sein de la communauté guinéenne au Cameroun précisément à Douala (Douala 2e). Une femme en foyer polygame a assassiné la fille de sa coépouse par empoisonnement, une fillette de 4 ans et les autorités guinéennes de Douala (le consul Salihou et ses collègues dont un certain Barry) ont décidé de masquer l’affaire pour ne pas que les autorités camerounaises soient informées de cet acte.
Ils ont décidé de renvoyer la femme en Guinée pour qu’elle échappe à la justice soit disant pour préserver la réputation des guinéens au Cameroun.
La femme en question avait auparavant menacé son époux et sa coépouse d’un couteau en disant qu’elle voulait retourner dans son pays la Guinée si non elle allait commettre un acte qui allait faire parler toute la ville, et hier elle a exécuté ses menaces.
La mère de la fille est allé au marché en laissant son enfant seul avec sa coépouse, cette dernière donna une boisson contenant du poison à la fillette et alla se coucher tranquille, laissant la fille dans l’agonie jusqu’au retour de sa mère qui s’écria, et malheureusement la fillette perdit la vie.
Tellement empressé de couvrir ce meurtre les autorités guinéenne ont décidé d’enterrer la fille à 19h du jamais vu pour les musulmans qui une fois le soleil tombé attendent le lever du jour pour l’enterrement.
Ce qui se passe dans cette communauté est bien plus grave car les autorités se sont accaparées le pouvoir et ne laisse personne s’opposer à eux depuis déjà 2 ans (mandat du nouveau consul qui je site n’est même pas allé à l’école ni lui ni ces collègues).
La jeunesse guinéenne née au Cameroun a réclamé juste pour la fillette parce que c’était de trop, mais ils ont répondu (on ne vous a pas envoyé à l’école pour contester nos décisions).
Nous ne souhaitons que justice soit rendu"