Solidarité discrète envers les victimes de l'éboulement
L'ancien journaliste Sam Severin Ango a récemment clarifié les circonstances entourant la visite de Franck Biya à Mbankolo, suite à l'éboulement tragique qui a coûté la vie à plusieurs habitants du quartier de Yaoundé il y a quelques semaines. Alors que certaines voix critiquaient l'apparition publique de Franck Biya, Sam Severin Ango a défendu son voisin, soulignant qu'il était venu en aide aux victimes sans faire de bruit.
Sam Severin Ango a exprimé son étonnement face aux critiques incessantes visant Franck Biya, soulignant que chaque action de ce dernier semble susciter des réactions négatives. Il a particulièrement répondu aux inquiétudes concernant la nationalité de Franck Biya, affirmant qu'il est un citoyen camerounais à part entière et qu'il ne devrait pas être remis en question.
Concernant la visite de Franck Biya à Mbankolo, Sam Severin Ango a expliqué que sa motivation était avant tout la proximité géographique, étant voisin des victimes de l'éboulement. Il a également révélé que Franck Biya n'était pas venu les mains vides. Malgré sa discrétion légendaire, Franck Biya aurait apporté un soutien matériel aux personnes touchées, geste qu'il préfère garder privé.
"Franck Biya est allé à Mbankolo parce qu'il habite non loin de là, en voisin qui part quand même soutenir ses voisins. Il n'y est pas allé les mains vides. (...) Il a pu, de manière discrète, délivrer quelques présents à ces personnes qui souffrent. Mais il n'aime pas qu'on fasse la publicité par rapport aux actes qu'il pose", a déclaré Sam Severin Ango.
L'ancien journaliste a également souligné que Franck Biya avait fait preuve d'une grande modestie en se rendant à Mbankolo sans escorte de sécurité, illustrant ainsi son désir de rester proche des préoccupations de ses compatriotes.
Cette visite discrète, bien que controversée, met en lumière l'engagement de Franck Biya envers les communautés locales et souligne l'importance de la solidarité et de l'entraide dans des moments de crise nationale.
