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Du très sale : la maire de Douala 2ème Denise Fampou est attrapée

La cupidité des dirigeants camerounais

Wed, 27 Sep 2023 Source: www.camerounweb.com

C’est une énorme bombe qui vient d’être lâchée par le journaliste et lanceur d’alerte Boris Bertolt. Cela montre, si les faits sont avérés, comment les pouvoirs publics camerounais sont voyous et corrompus jusqu’à la moelle.

Il s’agit d’une affaire liée à un marché qui est gérée de façon dangereuse et surtout d’une manière qui ne fait pas les affaires de la population. Il se cacherait derrière le coup, Denise Fampou et d’autres malhonnêtes comme le raconte Boris Bertolt.

Ce dernier écrit : « Comment la maire de Douala 2ème Denise Fampou a organisé une opération mafieuse en complicité avec des autorités administratives pour tuer quatre cent (400) familles ».

Dans son développement, l’activiste fait savoir que « c’est un autre scandale auquel on assiste à Douala avec la complicité de plusieurs autorités administratives de la ville qui se sont alliées au maire de Douala 2ème, Denise Fampou pour dépouiller les jeunes et pères de familles qui ne cherchent qu’à nourrir leurs progénitures ».

En effet, « le 11 mai 2023, quatre cent (400) commerçants ont été chassés du marché de la gare de New Bell par Denise Fampou sans aucun avis de départ et encore moins sans option de recasement. Plus grave, les boutiques sont situées sur le domaine privé de l’Etat. Denise Fampou décide de tout casser pour reconstruire un nouveau marché sans dédommagements et sans préavis ».

Sauf que le conseil municipal de Douala 2ème n’est pas informé, selon la source citée. « La mairie de Douala n’est pas informée. Aucun budget n’a été décaissé par la mairie. Denise Fampou a simplement utilisé sa position de maire pour organiser une mafia avec un de ses amis promoteur immobilier ».

« Dans le cadre du nouveau marché, les places s’achètent entre 05 et 15 millions de francs CFA. Pour s’assurer du silence des autorités, certaines ont reçu une promesse de boutiques. Voilà donc comment dans ce pays, ceux qui ont le pouvoir décident de tuer les plus faibles. Un jour ça va s’arrêter », jure Boris Bertolt.

Source: www.camerounweb.com