Beaucoup disent que c’est le plan de Dieu. Ça en a tout l’air. Le drame national qui s’est produit à Mbankolo (Yaoundé), faisant plusieurs dizaines de morts, est terrible à supporter. Les familles vont mettre beaucoup de temps pour se remettre et accepter que la nature leur a arraché si brutalement des êtres chers qu’elles aimaient.
Un fait étrange est survenu, en pleine tragédie. Un activiste bien connu sur la toile écrit à cet effet : « Seigneur, je t'implore de protéger ce bébé. Retirez-moi l'enfant de ces mains surtout quand je vois le regard méchant de l'homme à côté (Paul Atanga Nji, ndlr). Sinon c'est Dieu qui est puissant ».
Ce bébé c’est un « nourrisson de trois (03) semaines qui a miraculeusement survécu à l'éboulement. C'est le seul survivant de toute sa famille. Ses parents, frères et sœurs sont morts dans la catastrophe ».
La source ajoute que « personne n'est en mesure de dire comment un nourrisson a pu survivre à cela, étant donné qu'il a été retrouvé dans les décombres après plusieurs heures. La puissance de Dieu s'est révélée dans sa magnificence ».
C’est donc dire que « Dieu a épargné ce petit ange car sûrement il a une destinée en or. Rendons gloire à Dieu car il est Dieu et il est puissant plus que la puissance elle-même. Seigneur, éloigne ta créature des sorciers (Paul Atanga Nji et Célestine Ketcha Courtès comme on peut le voir sur la photo, ndlr) ».
Zang écrit aussi que « les mbankolien(nes) sont très en colère et accusent le ministre Grégoire Owona d'être responsable de l'éboulement. En effet, propriétaire d'une immense demeure où il réside depuis des années non loin du carrefour ministre (nom donné à l'entrée qui mène chez lui), il a créé un lac artificiel à proximité sur plus de 1000 m2 pour son élevage ».
Par conséquent, « suite à la forte pluie diluvienne de la fois passée, le mur de soutènement de ce lac aurait donc lâché et créé l'éboulement pas loin de sa résidence qui est à un jet de pierre de la catastrophe. Bilan provisoire : plus de 60 morts. Ps: les populations exigent des comptes de sa part et des sanctions », apprend-on.