Election 2018: Claude Abe clashe et recadre Georges Dougueli

Le journaliste de Jeune Afrique dans une récente publication sur sa page Facebook, s’exprimait sur l’élection présidentielle qui aura lieu en octobre prochain au Cameroun.

Dans un texte intitulé « Comment se faire voler une présidentielle », Georges Dougueli n’a pas hésité a dévoilé ses préférences face au candidat Maurice Kamto. Selon, le rédacteur du journal africain, Maurice Kamto potentiel adversaire face à Paul Biya serait victime d’un grand sabotage. Des propos mensongers et diffamatoires seraient observés à l’égard de Kamto.

Une panoplie de révélations faite par le journaliste afin de décrédibiliser les bourreaux de celui qu’il surnomme « d’homme honnête ».

Une sortie qui n’a surement pas enchanté le professeur Claude Abe.

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Lisez sa réaction ci-dessous…

Monsieur Georges Dougueli je respecte le métier que vous exercez. Je peux comprendre que dans ce post ce soit moins le journaliste talentueux que le citoyen éloigné du réel parfois tel cela peut transparaître dans votre point de vue.

Mais en tant qu'observateur de la scène politique qui jouit du privilège et du défaut de la proximité, permettez-moi de vous faire constater que vous n'avez connaissance que partiellement de la réalité.

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Il existe une meute qui accompagne Monsieur le candidat Kamto dans presque tous les réseaux sociaux qui a sûrement ses raisons dont les épanchements émotionnels contribuent cependant à rendre l'offre politique, que je peine modestement à voir, audible.

Ceux qui me connaissent un peu savent que je me prononce difficilement ces derniers temps sur les enjeux électoralistes laissant à chaque candidat la possibilité de convaincre. Mais, Le candidat Kamto ne se ressaisit pas à temps tout que vous dites et qu'il a pu faire risque de passer par perte pour lui et profit pour ceux qui tiennent à réduire le jeu politique loin de l'expression de la citoyenneté au profit d'une communautarisation du politique qui est plus un effet de structure qu'une remise en question de celle-ci. Je vous invite à plus d'humilité analytique.