Election 2018: Joshua Ossih serait le candidat du compromis

Au cours des deux dernières années, l'avenir politique du Cameroun a été très incertain, d'autant plus que l'élite politique actuelle est constituée principalement de personnes de plus de 75 ans. Pour de nombreux Camerounais, c'est très préoccupant, d'autant que plus de 70% de la population du pays a entre 20 et 50 ans.

Mais l'un des plus grands défis auxquels le pays est confronté aujourd'hui est celui de la cohésion du pays. L'unité du pays est menacée. Au cours des deux dernières années, le Cameroun a été à l'honneur pour toutes les mauvaises raisons. La crise anglophone a révélé les insuffisances du système politique actuel et les divisions au sein du pays pointent clairement le pays dans la mauvaise direction. Ces divisions menacent la base même sur laquelle ce beau pays a été construit.

La minorité anglophone menace de quitter le syndicat au motif qu'elle a été caractérisée par l'injustice, la corruption, la marginalisation et l'abus des droits de l'homme. Des mois de manifestations dans la rue au début de l'année 2017 n'ont donné lieu qu'à de violents affrontements, les troupes gouvernementales tuant des manifestants anglophones.

Les choses ont atteint leur paroxysme à la fin de 2017, avec des combattants anglophones prenant des soldats de l'armée. Les conséquences de ces combats ont été incroyables. Le nombre de morts a été élevé des deux côtés et la fin n'est malheureusement pas en vue, car le gouvernement reste ferme dans sa logique de gagner la guerre par la violence militaire et à tout prix.

La crise a non seulement révélé à quel point le pays est politiquement vulnérable, mais elle a également démontré qu'une nouvelle classe politique est supposée émerger si le Cameroun, nation autrefois stable, doit préserver cet attribut qui en a fait un pays spécial sur le continent africain. . Le double héritage colonial du pays l'a toujours fait ressortir et cette beauté est menacée alors que le conflit entre les anglophones et l'État se joue dans les rues et les jungles de l'ex-Cameroun occidental.

Alors que les anglophones ont raison de lutter contre la marginalisation politique et économique, il y a un consensus croissant sur le fait qu'il existe un énorme problème de gouvernance qui nécessite des mesures d'urgence. Le pays manque d'infrastructures modernes. Ses routes sont devenues des pièges mortels. Son hôpital a été réduit à des cliniques de consultation et la qualité de l'éducation qui a inspiré l'espoir à des millions de Camerounais a décliné au cours des vingt dernières années à des niveaux ridicules.

Aujourd'hui, les violations des droits de l'homme sont endémiques. Les tribunaux ont perdu le respect du peuple. Le pouvoir judiciaire est à la merci de l'exécutif du gouvernement et il est difficile pour les Camerounais - anglophones et francophones - d'obtenir la justice dont ils ont besoin dans leur propre pays.

Les Camerounais en général attendent avec impatience un changement politique significatif. Les dirigeants politiques actuels n'ont pas répondu aux attentes glorieuses du peuple. Le parti au pouvoir, le Mouvement démocratique populaire du Cameroun (RDPC), a monopolisé le pouvoir pendant plus de cinq décennies et il n'y a rien à montrer pour cela. L'arrogance des ministres du gouvernement et des parlementaires du RDPC a fait l'objet de nombreuses discussions depuis le début de la crise anglophone. Et cela amène de nombreuses personnes à se pencher sur différentes stratégies qui peuvent aider le pays à se débarrasser du parti au pouvoir qui est largement considéré comme un syndicat du crime.

 

Mais ce n'est pas seulement la scène politique qui demande l'amélioration. L'économie du pays a fondu à un rythme alarmant et cela a été exacerbé par l'escalade de la corruption qui a rendu la vie insupportable pour des millions de Camerounais. L'économie camerounaise s'est contractée au cours de la dernière décennie et cette contraction devrait se poursuivre, d'autant plus que le pays est embourbé dans de multiples conflits.

La crise anglophone engloutit déjà d'énormes quantités de ressources financières qui auraient pu être investies pour transformer la vie de nombreux jeunes Camerounais et cette situation risque fort de se poursuivre alors que le gouvernement refuse d'appeler à un dialogue inclusif et sincère résultats. Dans le Nord, Boko Haram mutile et tue des Camerounais innocents et cette menace affecte également l'économie du pays.

Au fil des ans, le chômage est devenu un problème au Cameroun. Le chômage gâche la vie de nombreux Camerounais à la suite de longues années de mauvaise gestion et de corruption. Aujourd'hui, beaucoup de jeunes camerounais préfèrent regarder vers l'extérieur car leur pays n'a pas réussi à exploiter leur potentiel. La pauvreté - générée par le parti au pouvoir - a privé les Camerounais de leur dignité. Leur désespoir peut être vu sur leurs visages. Le peuple camerounais a besoin de changement.

Ils ont besoin de quelqu'un qui puisse leur inspirer de l'espoir. Quelqu'un qui comprend leur situation et est animé par un fort sentiment de patriotisme. Cela a été l'ingrédient manquant dans l'ensemble du jeu politique pour les trente dernières années.

Mais tous les espoirs ne sont pas perdus. Une nouvelle classe politique émerge progressivement et Joshua Osih, le camerounais intelligent, bilingue et patriotique qui comprend le sort du peuple a finalement jeté sa casquette sur le ring. Après avoir longtemps servi comme vice-président et parlementaire du Front Social Démocratique (SDF), M. Osih estime que c'est le bon moment pour aider le pays à sortir du marasme politique et économique.

Sa candidature à la prochaine élection présidentielle est un soulagement pour beaucoup de jeunes camerounais qui soutiennent clairement qu'il est temps de s'éloigner de la gérontocratie inefficace et inefficace qui a causé la douleur et la mort à de nombreux Camerounais.

Beaucoup de jeunes Camerounais estiment que le pays a besoin de mains plus jeunes pour transformer le paysage économique et politique du pays et Joshua Osih a une main sûre. On croit généralement que sa compréhension des cultures francophones et anglophones fait de lui le candidat idéal pour le poste de président dans un pays qui pourrait imploser si la bonne personne n'intervient pas. Son attitude modérée sur de nombreuses questions lui a valu le respect de la nation entière. Le temps de Josua Osih est venu.

Il est même considéré comme le candidat idéal même par les anglophones qui ont clairement démontré leur frustration face au gouvernement de Yaoundé. Le Cameroun a besoin de guérir et seul quelqu'un avec le tempérament et le charisme de Joshau Osih pourra aider le pays à sortir de son passé affreux.

Porté le 9 décembre 1968, Joshua Osih est le premier Camerounais anglophone à servir de parlementaire à Douala dans le Littoral Région. En plus d'être un politicien, il est le président de Camport PLC au Cameroun, une entreprise prospère qui a fait beaucoup de gens à penser qu'il est l'homme idéal pour mener le Cameroun dans un avenir prospère et pacifique.