Une certitude se dégage dans la préparation des sénatoriales du 12 mars prochain dans la région du Nord. Trois partis politique seront en lice. Il s’agit du Rdpc, de l’Undp et du Fsnc. Au sein des partis de Bello Bouba Maigari et de Issa Tchiroma Bakary, le choix des candidats ne fait pas l’objet de grandes batailles. Jusqu’à hier, mardi 24 janvier 2023, un cadre du Fsnc, luimême candidat à ces sénatoriales nous révélait que le parti n’avait reçu que neuf dossiers de candidatures. Insuffisant pour atteindre les 14 dossiers attendus, soit sept candidats titulaires et sept candidats suppléants. «Pour l’instant, nous sommes en train de constituer sereinement le dossier de candidature du Fsnc. Il n’est pas encore complet, mais je puis vous rassurer qu’il le sera à temps pour être déposé dans les délai à Elecam. Les différents prétendants à la candidature soumettent leur dossier et celui-ci est naturellement étudié en fonction des critères définis par la hiérarchie du parti. Au final, on aura une liste bien complète, constituée de militants qui ont des arguments pour défendre les couleurs du parti», souligne Ahmadou Issa Mbamsi, cadre du Fsnc. Au sein de l’Undp, c’est le président national, entouré des membres du Comité central, qui va décider de la constitution des listes. Seule certitude, c’est que le parti va constituer des listes dans quatre régions à savoir, le Nord, l’Extrême-Nord, l’Adamaoua et l’Est. Au sein du Rdpc, deux sénateurs sortants ont décidé chacun de constituer leur liste. Il s’agit d’Amidou Maurice qui était déjà tête de liste en 2018 et d’Yvonne Asta. Le premier conduit une liste avec quatre sénateurs sortants tandis que la deuxième a obtenu le ralliement d’une sénatrice sortante à sa cause pour la constitution de sa liste.
Une certitude se dégage dans la préparation des sénatoriales du 12 mars prochain dans la région du Nord. Trois partis politique seront en lice. Il s’agit du Rdpc, de l’Undp et du Fsnc. Au sein des partis de Bello Bouba Maigari et de Issa Tchiroma Bakary, le choix des candidats ne fait pas l’objet de grandes batailles. Jusqu’à hier, mardi 24 janvier 2023, un cadre du Fsnc, luimême candidat à ces sénatoriales nous révélait que le parti n’avait reçu que neuf dossiers de candidatures. Insuffisant pour atteindre les 14 dossiers attendus, soit sept candidats titulaires et sept candidats suppléants. «Pour l’instant, nous sommes en train de constituer sereinement le dossier de candidature du Fsnc. Il n’est pas encore complet, mais je puis vous rassurer qu’il le sera à temps pour être déposé dans les délai à Elecam. Les différents prétendants à la candidature soumettent leur dossier et celui-ci est naturellement étudié en fonction des critères définis par la hiérarchie du parti. Au final, on aura une liste bien complète, constituée de militants qui ont des arguments pour défendre les couleurs du parti», souligne Ahmadou Issa Mbamsi, cadre du Fsnc. Au sein de l’Undp, c’est le président national, entouré des membres du Comité central, qui va décider de la constitution des listes. Seule certitude, c’est que le parti va constituer des listes dans quatre régions à savoir, le Nord, l’Extrême-Nord, l’Adamaoua et l’Est. Au sein du Rdpc, deux sénateurs sortants ont décidé chacun de constituer leur liste. Il s’agit d’Amidou Maurice qui était déjà tête de liste en 2018 et d’Yvonne Asta. Le premier conduit une liste avec quatre sénateurs sortants tandis que la deuxième a obtenu le ralliement d’une sénatrice sortante à sa cause pour la constitution de sa liste. Une troisième liste, conduite par Mohamadou Ahidjo Galdima est entièrement constituée des candidats qui frappent pour la première fois aux portes des sénatoriales. Au sein du Rdpc, cette fracture observée ne semble pas inquiéter. «Chacun est libre de constituer sa liste et le fait d’avoir été sur une même liste il y a cinq ans n’oblige personne à revenir avec la même liste. Amidou Maurice a choisi de rassembler autour de lui ses collègues sortants, si d’autres ont choisi de faire cavalier seul, ils ont leur raison. Mais ce qui doit compter, c’est l’intérêt du parti. Il n’est pas exclu que dans le choix de la hiérarchie qui a la décision finale, on retrouve les mêmes sur une liste ou que des nouveaux soient sélectionnés. Ce qui est certain il y aura une liste finale et les militants s’en tiendront au choix du parti», explique un candidat