• 2025, année d’élection présidentielle au Cameroun
• La course s’annonce palpitante
• Denis Emilien Atangana ne se fera pas compter l’évènement
La prochaine élection présidentielle au Cameroun est prévue pour 2025. Elle va être un tournant décisif pour l’histoire politique du pays. Le président Paul Biya est malade depuis un moment. Ses apparitions publiques sont limitées. On ne le voit plus. Beaucoup d’observateurs avancent que c’est le moment ou jamais pour l’opposition de faire un grand coup et rendre enfin possible l’alternance au Cameroun.
Parmi le collège des opposants politiques, il y a quelques-uns qui sortent du lot, ils ont la faveur de leurs concitoyens. D’autres sont moins appréciés à cause de leurs sorties médiatiques ratées et leur passé moins brillant.
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Denis Emilien Atangana, le président national du Front des démocrates camerounais (FDC) est très confiant. C’est soit lui, soit personne. Récemment, dans une émission de débat télévisé, Denis Emilien Atangana a dénoncé les tentatives de certains présentateurs d’imposer à tort à l’opinion publique certaines personnes moins qualifiées.
Or, du point de vue l’homme politique, ces personnes n’ont rien démontré : « La transition du pouvoir se fera avec le FDC ou ne se fera pas. Au FDC nous sommes conscients de nos atouts malgré la volonté de certains présentateurs d’émission de débat TV d’imposer à l’opinion certains visages qui n’ont pas encore démontré leurs capacités de mobilisation et leurs solidités. Le meilleur est avenir », a écrit Denis Emilien Atangana sur Facebook.
Précédemment, le président du FDC avait déclaré, à trois (03) ans de l’échéance électorale : « La transition au Cameroun se fera incontestablement avec le FDC qui, à peine quatre (04) ans d’existence, figure dans le cercle restreint des partis politiques habiletés à investir un candidat à la prochaine élection présidentielle. Contrairement aux petits partis politiques qui n’ont pas d’élu, le FDC poursuit sans bruit son implantation et se prépare pour les prochaines élections municipales, législatives, régionales et présidentielles ».
Denis Emilien Atangana n’a pas peur des mots, ni de ses adversaires politiques. Il croit fermement en ses chances. Naturellement. S’il n’y croit pas lui-même, comment le peuple pourrait-il y croire ?