Une dénonciation a été faite sur les réseaux sociaux. Il s’agit d’un homme qui trompe les femmes. Dès qu’il a leur confiance, il leur montre son vrai visage. Celui de voleur, de frappeur comme l’explique le dénonciateur dans son texte ci-dessous.
Je rédige ce message aujourd'hui pour mettre en garde la communauté camerounaise (surtout en France), les femmes en particulier, au sujet d'un monstre sous la peau d'un homme dénommé Zinga Aboui Jonathan, 33 ans, vivant en France, sans domicile personnel. Zinga Aboui Jonathan est un prédateur qui jette son dévolu sur les femmes via Facebook, les charme, profite d'elles au maximum et ensuite détruit leurs vies. Physiquement, psychologiquement et matériellement.
Malheureusement, une jeune femme nommée S., 30 ans, vivant également à Paris, qui souhaite pour le moment garder son identité masquée car traumatisée, a été sa plus récente victime.
Elle s'est laissée emporter par les douces paroles et promesses de Zinga Aboui Jonathan, lui a ouvert sa porte, lui a offert un domicile, une sécurité, et tout l'amour possible. Ce monsieur a profité d'elle de fond en comble, lui mentant sur ses réelles activités en prétendant travailler en télétravail pour la BNPB Paribas, entre une multitude d'autres mensonges qu'elle ne voyait pas car aveuglée par l'amour qu'elle lui portait. Elle faisait tout : courses, paiement de factures, cuisine, etc. Il y avait des hauts et des bas, comme pour tout couple partageant un toit, mais jamais rien qui aurait permis à S. de prévoir ce qui se passerait au bout de quelques mois.
La nuit du 14 au 15 novembre 2023, suite à une dispute pourtant mineure, S. a eu le malheur de se plaindre du comportement enfantin et désinvolte de Zinga Aboui Jonathan. Elle ne s'attendait pas à la réaction d'une violence extrême qui allait suivre.
Il a tout d'abord commencé à lui lancer des vêtements au visage, pulls, manteaux, etc. Suite aux plaintes de S., Zinga Aboui Jonathan a décidé de la pousser violemment au sol, et elle a atterri face la première sur l'imprimante qui y était déposée. Il l'a ensuite traînée par les pieds, lui causant d'autres chocs à la tête. La dame a voulu se défendre, réussissant à entrainer ce monstre au sol. Lorsqu'elle s'est relevée, il l'a rattrapée et l'a balancée contre le frigo, causant la brisure du manche de ce dernier, ce qui a fissuré la cote de S. Il l'a ensuite traînée par les cheveux, arrachant ses tresses à la racine au point où elle a dû se raser la tête. Il l'a rouée de coups, lui a fracassé la télévision dessus, l'a battue avec l'étendoir à linge, il a même fracassé le canapé-lit sur elle.
Lorsqu'elle était au sol, en position fœtale, et il essayait d'atteindre son visage, elle l'a mordu pour l'éloigner, il lui a dit qu'elle ne "sait pas mordre et qu'il va lui montrer comment on mord". Il l'a donc mordue au dos comme un animal avec toute sa force. Et a continué à la rouer de coups. Il a fallu que les voisins interviennent pour qu'il prenne la fuite. S. a été transportée aux urgences, et la police a pu faire le constat des dégâts causés par ce démon.
Comme si toute cette violence physique n'était pas suffisante, il a fallu que Zinga Aboui Jonathan démontre aussi ses aptitudes de destruction et de vol. Il a déchiré et versé de l'eau de javel sur tous les vêtements et affaires de S., détruit tout dans son appartement, éventré le matelas, bousillé les murs, bref il a vraiment tout détruit.
Il est même allé jusqu'à découper son titre de séjour, sa carte vitale, sa carte bleue, son livret, tous ses documents, détruit son ordinateur contenant tous ses travaux professionnels et scolaires, détruit ses papiers. Il a également volé son boîtier de Airpods, ses vêtements de marque neufs, ses parfums coûteux, sa carte Navigo, son passeport…
Une plainte a été déposée auprès de la police, mais nous ignorons si elle aura une suite positive. S. est très amochée, traumatisée et a quasiment tout perdu, pendant que ce monstre de Zinga Aboui Jonathan mène paisiblement sa petite vie, caché chez un de ses amis. Il est inadmissible qu'un tel danger public reste dans l'anonymat, et d'ici à ce que justice soit faite, si elle l'est, nous vous supplions de ne jamais ouvrir la porte de vos vies à cet animal.