'En adhérant au MRC, je n'ai signé de contrat avec personne': Bouba Dalil en colère

Aissatou Bouba Dalil fait-elle face à une pression de la part des autres membres du comité directoire du Mouvement de la Renaissance du Cameroun?

Une publication de la femme politique qui est une des Secrétaires nationales du parti politique d'opposition laisse en tout cas penser qu'elle est dans une situation conflictuelle avec quelqu'un à l'intérieur du parti.

"En adhérant au MRC, je n'ai signé de contrat avec personne. Mon seul contrat était et reste celui de soutenir le SEUL HOMME capable de relever le pays après 40 ans de Dictature, Maurice Kamto et ce, contre vents et marées. Donc, si quelqu'un a cru qu'il m'avait dans sa poche, dès lors qu'il ndem, je ne suis plus moi avec lui!", écrit-elle.

Dans ses diatribes sur les réseaux sociaux, la très loquace secrétaire nationale du MRC en charge du Tourisme, a dévoilé quelques jours plus tôt, ce que certains militants du Mouvement de la Renaissance du Cameroun ont fait et essayent de contaminer les autres militants avec leurs comportements déviants.

Les affaires de mœurs, ce n'est pas seulement au sein du mouvement du renouveau. Les membres de la Renaissance sont également concernés. A la lumière d'une publication faite par Aissatou Bouba Dalil, l'on peut aisément dire que tous ceux qui affirment sur les réseaux sociaux qu'ils militent pour un changement du Cameroun, aux côtés du MRC et participent à des manifestation contre le pouvoir, peuvent être des loups cachés en vêtements de brebis.

"Leur plus grand regret, restera de n'avoir jamais réussi à me corrompre, soit par l'argent, soit par le sexe. Ils ne détiennent aucun moyen de pression sur moi, et pourtant, des invitations indécentes, il y en a eu. Mais ma probité morale m'interdit ce genre de choses. Je ne couche pas avec le mari des autres le jour de leur nuit de noces ! Qd je pense que des gens de petite morale viennent me faire la leçon, je me dis que la fin du monde est proche ! Qd des gens qui ont transformé cette Résistance en maison close viennent me faire la morale, ça me fait, mais vraiment, mourir de rire !", écrit Aissatou dans une publication sur sa page Facebook.