L'Association des Princes et Notables du Cameroun lui envoie ses félicitations
Une lettre surprise atterrit chez Francis Ngannou. L'Association des Princes et Notables du Cameroun exprime ses félicitations et ses encouragements à Francis Ngannou, suite à sa victoire dans le combat de boxe anglaise contre Tyson Fury. Le message, adressé au champion, souligne son courage, sa ténacité et sa performance exceptionnelle qui ont fait briller le Cameroun et l'Afrique dans le monde entier.
La lettre évoque les coups puissants infligés par Ngannou à son adversaire, transformant son visage et le moment décisif où Tyson Fury est tombé au tapis sous un crochet foudroyant. La victoire de Ngannou est saluée comme un exemple de détermination.
Les princes et notables des chefferies du Cameroun se tiennent aux côtés de Francis Ngannou, et ils félicitent chaleureusement le champion, en mettant en avant son succès malgré toute controverse entourant le résultat du combat. Le message se conclut par l'assurance du soutien et de la considération de l'Association envers le champion.
« Monsieur et Cher Patriote,
J'ai suivi du début à la fin, votre combat de boxe anglaise contre Tyson Fury, combat que vous avez gagné à la lumière du monde entier avec flamboyance et ténacité d'un esprit lion indomptable.
Vous avez infligé des coups atomiques à votre adversaire, états de choses qui ont déformé son visage et ajouter à cela un crochet foudroyant infligé au tympan de Tyson Fury qui, désespérément est tombé sur le tapis par une chute libre, et pourtant un adversaire redoutable et d'un gabarit épouvantable.
Vos performances magmatiques promeuvent l'image de marque du Cameroun et de l'Afrique. Tous les princes et notables des chefferies du Cameroun sont derrière vous et vous adressent leurs félicitations sous l'œil éclairé du premier notable, Nnôm Ngui'i, Chef de l'État, Son Excellence Paul Biya. Sans tenir compte d'un faux résultat du jury de votre combat. C'était vous le vainqueur.
Veuillez recevoir Monsieur, les assurances de ma considération distinguée », lit-on dans la lettre.
