Enquête explosif au sommet de l'Etat : les détails cachés de la vraie fausse affaire Matarazzi

Dans une de ces fameuses listes, figure le nom du chef d’entreprise Eugenio Matarazzi

Mon, 7 Aug 2023 Source: Le Messager

Des informations erronées sur des supposées subventions publiques, diffusées par voie de presse, cachent l’intention malveillante de certaines officines de nuire au patron de la Société Industrielle de Mbang (Sim). C’est une affaire qui a fait grand bruit à Yaoundé. Des supposées listes de personnes et entreprises qui auraient bénéficié des subventions publiques sans justification évidente ont été abondamment partagées sur les réseaux sociaux.

Dans une de ces fameuses listes, figure le nom du chef d’entreprise Eugenio Matarazzi, Directeur général de la Société Industrielle de Mbang SA (SIM SA). Du coup, il s'est retrouvé injustement accusé de délits environnementaux et d'avoir bénéficié d'importantes subventions publiques de l’Etat du Cameroun (Lignes 94, 65 et 57). En effet, tout a commencé lorsqu’un journal de la place, en mal de réputation, a publié un article le 7 juillet 2023, alléguant que SIM SA était impliquée dans des pratiques de déforestation au Cameroun et avait profité de subventions publiques substantielles. Le titre de l'article contenait deux allégations fausses, notamment l'affirmation selon laquelle SIM SA aurait bénéficié de subventions publiques, alors que Matarazzi et SIM SA ont toujours nié fermement avoir reçu de tels financements. L’organe de presse en question avait initialement contacté SIM pour recueillir des informations sur des prétendues subventions accordées par l'État du Cameroun à l'entreprise.

Cependant, malgré les preuves fournies par M. Matarazzi démontrant que SIM n'a jamais bénéficié d'une quelconque subvention gouvernementale, le journal a choisi d'ignorer ces faits et s'est contenté de publier des informations provenant de sources non vérifiées, notamment les réseaux sociaux. L’organe de presse a par ailleurs accusé M. Matarazzi d'avoir reçu 175 000 euros de l'État du Cameroun, tandis que SIM aurait reçu la somme de 250 000 000 euros. Contrairement aux allégations de l'article, aucun élément de preuve ne soutient les accusations portées contre SIM SA et Matarazzi. Face à ces allégations infondées et flagrantes, M. Matarazzi et son entreprise exigent désormais le rétablissement de leur honneur. Cabale Selon de nombreuses sources au fait de ce dossier, cette affaire met en lumière les manipulations orchestrées par des lobbys centrifuges visant à briser la carrière et la réputation de M. Matarazzi, ainsi que celle de son entreprise.

L'affaire Matarazzi met en lumière une triste réalité : la manipulation médiatique orchestrée par des lobbys centrifuges. Ces entités influentes s'emploient à discréditer des personnes et des entreprises pour servir leurs propres intérêts. Il est crucial de souligner que SIM a coopéré pleinement avec le journal en fournissant des informations précises et en apportant des preuves incontestables de l'absence de subventions publiques. Pourtant, le journal a choisi d'ignorer ces faits établis et de préférer des sources non vérifiées, portant ainsi atteinte à la réputation et à l'intégrité de M. Matarazzi et de son entreprise.

L'objectif de ces attaques diffamatoires et de cette manipulation médiatique est clair : briser la carrière de M. Matarazzi et nuire à la Société Industrielle de Mbang. Notons que M. Matarazzi a toujours su faire preuve d'un esprit républicain inébranlable tout au long de sa carrière, même dans les bas-fonds du secteur du bois où il évolue. Son nom n'a jamais été associé à des affaires de trafic d'impôts illégaux ou d'exploitation illicite des forêts. Au contraire, il a toujours défendu le respect des lois et des réglementations en vigueur, faisant de SIM SA une entreprise modèle en termes de conformité.

Source: Le Messager