Enquête : qui est réellement la nouvelle première dame gabonaise très timide en public

La première dame

Wed, 6 Sep 2023 Source: www.camerounweb.com

En quelques heures seulement, elle est passée de parfaite inconnue à l’un des visages féminins les plus contemplés et appréciés au Gabon. Oui, tout peut arriver à n’importe quel moment.

C’est la nouvelle première dame du pays, après Sylvia Bongo elle aussi arrêtée comme son mari Ali Bongo qui demande à ses amis de faire du bruit pour leur libération.

Elle, c’est « madame Zita Niangui Oligui Nguema, la nouvelle première dame de transition du Gabon qui a séduit le peuple gabonais », écrit un activiste.

Zita a quarante-deux (42) ans. Elle est « diplômée en lettres modernes et enseignante de formation, donc une intellectuelle. Une première dame d'origine gabonaise plus de trente-cinq (35) ans après Patience Dabany ».

« Beau teint ébène. Simplement simple. Chic et sobre. Belle africaine », qualifie la source. Cette dernière, tout comme beaucoup d’observateurs, semble beaucoup admirer la beauté et le calme de cette femme qui n’arrive peut-être pas encore à croire que tout cela leur arrive vraiment à elle et à son mari.

Dans un autre post, le même activiste a parlé des parents de Clotaire Brice Oligui Nguema le Général putschiste : « Quand des parents donnent la bénédiction à leur enfant, ça donne de si belles images comme celles-ci. Un père et une mère vivant au village depuis car retraités et qui ont fait le déplacement pour donner leur bénédiction à leur fils sous les acclamations de la foule ».

« Quel enfant ne rêve pas d'honorer ses parents de la sorte ? Quels parents ne seraient pas comblés de voir leur enfant accéder au pouvoir ? Vraiment magnifique. Au moins une Gabonaise qui ne dira pas demain "je suis Française" donc au secours la France », dit-il.

Oligui Nguema a d’ores et déjà pris des mesures comme « le rétablissement des bourses scolaires et académiques pour tous les gabonais sans exclusion (comme à l'époque de feu Omar Bongo) ; la libération immédiate de tous les prisonniers d'opinions ; l'accord pour le retour des exilés politiques ; la prééminence des gabonais au titre foncier ; la valorisation des peuples autochtones et tout particulièrement la nationalisation du peuple pygmée ; la remise du pouvoir aux civils après la restauration des institutions et de la nouvelle Constitution gabonaise à travers de nouvelles élections libres ».

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