Envie fréquente d'uriner : ce qu'il faut faire pour l'éviter

Envie fréquente d'uriner

Tue, 18 Jul 2023 Source: www.camerounweb.com

Il est souvent fréquent de constater chez des personnes qu’elles ont des envies fréquentes d’aller uriner. Seulement une fois sur place, le liquide qui sort n’est pas conséquent comme on pourrait l’imaginer mais aussitôt retourné aux occupations, l’envie de faire pipi revient quelques instants après.

Pour renseigner davantage toute personne et les conseiller, une spécialiste de la santé écrit à cet effet sur les réseaux sociaux : « Pollakiurie ou envie fréquente d'uriner : définition, symptômes et causes. La pollakiurie correspond au fait d'aller aux toilettes plus de sept (07) fois par jour et/ou plus d'une fois par nuit pour uriner en petite quantité. Ce phénomène s'accompagne parfois de fuites ou brûlures urinaires.

Souvent anodin, ce symptôme n'est toutefois pas à négliger car il peut être le signe d'une affection sévère des voies urinaires. Lorsque la consommation de boissons est très importante, par exemple en cas de potomanie (besoin irrésistible de boire sans cesse) chez les grands consommateurs de thé, de café et d'alcool (effet diurétique).

En plus de leur effet diurétique, le thé, le café et l'alcool ont une action irritante au niveau vésical. Les antis muscariniques sont les médicaments utilisés pour traiter l'hyperactivité de la vessie. Ils permettent à la vessie de fonctionner normalement, en la faisant se contracter une fois qu'elle est pleine, donc moins souvent ».

Voilà qui vient aviser les hommes ou femmes dans le cas. On sait maintenant qu’elles peuvent être les causes de la pollakiurie et ce qu’il y a lieu de faire pour s’en sortir.

Pénis captivus : voici le geste très simple à réaliser pour se détacher

Le pénis captivus ou le pénis captif désigne « l'impossibilité pour l'homme de retirer son sexe du vagin de sa partenaire durant ou après un rapport. Très généralement quand cela arrive en Afrique, on évoque une conséquence de l’infidélité ou un sort jeté par l’homme ou la femme trompé.es par les deux (02) personnes collées.

Ce que tout le monde ne sait pas, c’est ce que ce phénomène redouté par tous les hommes et toutes les femmes infidèles, a une explication scientifique qui est très compréhensible.

Lorsque cette situation arrive c’est que « le pénis est alors retenu par une puissante contraction des muscles élévateurs de l'anus, notamment la partie élévatrice interne qui sangle par l'arrière le vagin, empêchant tout retrait et maintenant l'érection ». C’est en effet cet incident qui est fréquent chez le chien.

Le forum Telegram Le buzz du mboa relaie justement l’intervention des spécialistes de la santé sexuelle à ce sujet : « Il y a une explication scientifique à ce phénomène mais les gens vont toujours parler de sorcellerie », comme l’auteur.

En effet enchaîne-t-il, « lors d’un pénis captivus, le pénis est retenu par une puissante contraction involontaire des muscles du périnée. Situés autour du vagin de la femme ces muscles contractés empêchent alors tout retrait et maintiennent l’érection. Le vagin retient le pénis. Il s’agit d’un réflexe anormal et incontrôlable, une sorte de spasme musculaire autour du vagin.

Le même mécanisme se produit dans le vaginisme, sauf que pour ce dernier la contraction de la musculature vaginale a lieu avant la pénétration. Certains experts parlent d’un spasme du muscle releveur de l’anus situé entre l’urètre, le vagin et l’anus. Un des faisceaux de ce muscle part du pubis, passe sur les côtés du vagin et fait le tour du rectum. S’il y a un spasme, comme une crampe, cela peut avoir pour effet d’écraser le vagin contre le pubis et d’emprisonner la verge.

Des causes mal définies pour un phénomène rare. Si le stress peut être excitant, il peut aussi exceptionnellement provoquer ces contractions involontairement prolongées. Le phénomène, si peu fréquent, n’a jamais réellement été étudié par la médecine. Néanmoins, le pénis captivus trouve sa source dans la psychologie féminine comme masculine.

Tétanie, crise de panique, les causes sont méconnues, et semblent involontaires. Mais le résultat est là : la verge reste coincée. Embarrassant, mais pas dramatique en soi, les spécialistes assurant que la verge ne court aucun danger réel malgré la force et puissance des muscles en question ».

Pour rompre le "collage", il suffit de « mettre un doigt dans l’anus de sa partenaire et de tirer légèrement en arrière. Si cela casse un peu l’ambiance du rapport, cela a l’avantage d’être efficace car il provoque un réflexe de décontraction des muscles du périnée. C’est un peu le même principe que de mettre un membre en extension pour atténuer une crampe. Vous pouvez faire le geste avec un gant en plastique ou votre partenaire peut le faire elle-même ».

Selon les experts, face au pénis captivus « la libération du pénis peut non seulement être obtenue grâce à la pratique d'un toucher rectal sur la femme mais également par l'injection d'un myorelaxant ».

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