Ernest Obama et Vision 4: quand l’idiotie et la bêtise se rencontrent

Il y a des maux dont seuls les mots pourront diagnostiquer, analyser et conclure à la réclusion de l’auteur de ses frasques verbales.

La capacité de se laisser domestiquer est une faculté qui demande au préalable des moyens qui n’existent pas dans des écoles traditionnelles, il s’agit de la bonne éducation sociale. Quand un enfant découvre le jouet à l’âge adulte, il est possible pour ce dernier de dégainer pour tuer en s’amusant inconsciemment et de façon insoucieuse.

La fréquentation des “personnalités “publiques que nous considérons comme notre instrument de fierté peut faire penser à un insensé que son village, c’est le monde entier. C’est ainsi que pour démontrer sa puissance aux yeux des faibles, la menace de les embastiller est présentée et leur mise à mort comme menace suprême.

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Cette sortie honteuse et humiliante arrive dans un contexte précis, la question de la qualité des apprenants formés chez nous, mais l’auteur de cette dérive verbale est tout simplement un fieffé arrogant qui confond le décret de nomination au certificat de compétence.

J’aimerai signifier à ce dernier (Ernest Obama, ndlr) que dans tous les régimes en fin de règne, il y a toujours un organe chargé de monitoring toutes les dérives verbales et les auteurs de ces dérives feront l’objet des poursuites devant la cour pénale internationale. En parlant de la privation de la liberté des uns, prépares toi (Monsieur EB) à passer le reste de ta vie dans une prison à la Haye.

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On n’aura pas besoin d’Interpol pour venir te chercher, la police Kamerunaise se chargera de te livrer à qui de droit. Ainsi le village de tes opposants qu’on aurait acheté, ils retourneront s ‘y installer librement.

Je reviendrai sur le chauvinisme ethnique de cet arriviste qui aurait découvert la mentalité citadine avec un retard considérable. Dans l’incapacité de se laisser apprivoiser, il est opportun de garder l’animal en gage.