'Et Biya vous l'enlevez quand' : des consignes claires interceptées

À force de parler du coup d’État gabonais dont l’instigateur est Brice Clotaire Oligui Nguema, les hommes et femmes du pays précédemment dirigé par Ali Bongo, ont fini par s’énerver. Selon nos sources, ils sont remontés d’être à chaque fois pointés du doigt par les Camerounais et Camerounaises qui ne sont pas mieux qu’eux, avec la situation exécrable liée à Paul Biya et son régime. Une d’entre les citoyennes gabonaises a fini par craquer et pousser un très grand coup de gueule que voici-dessous.

« Quand c'est pour parler des problèmes des autres, vos bouches sont sucrées, quand ce n'est pas les Ivoiriens, ce sont les Gabonais jusqu'à vous avez le courage de juger notre coup d'État et de parler mal de notre nouveau président.

Parlez un peu de Paul Biya, vous l'enlevez quand ? Votre Paul Biya qui a plus de 90 ans, vous le chassez quand ? Avec son épouse aux perruques que nous les Gabonais on sait qu'il y a des fétiches dedans, les fétiches qui vous empêchent de vous réveiller.

Quelqu'un vit en Suisse mais il est tellement fort que vous êtes incapables de l'enlever et en 2025, il va gagner les élections et vous allez toujours parler pour parler et pleurer sur les réseaux sociaux car ce n'est que ce que vous pouvez faire et rien de plus.

Il a mis Maurice Kamto en prison, vous avez fait quoi ? Plus de 25 millions mais un seul homme vous dépasse et vous parlez du Gabon ? Comment vous pouvez regarder votre pays chavirer et préférer vous intéresser aux problèmes des autres qui font le minimum que vous ne faites pas ?

Parler des problèmes des autres sans arrêt ? Tout ce qui vous intéresse, c'est de voir comment vous allez gagner au football comme si ça règle vos problèmes élémentaires.

Vous êtes une déception, vous nous souillez et on doit vous chasser de tous nos pays pour que vous rentrez dans ce que vous appelez votre continent, un continent de grosses bouches où les hommes réfléchissent comment ils vont arnaquer l'argent des gens dans la feymania et les femmes comment elles vont vendre le piment et voilà où tout votre réflexion se limite.

Si ce n'est pas les Ivoiriens, ce sont les Gabonais, collez-nous la paix et occupez-vous de votre situation catastrophique. Vous devriez avoir honte de parler des problèmes des autres car vous êtes incapables de gérer un homme de 90 ans qui vous enfonce de partout ».