C’est une nouvelle qui a choqué beaucoup de personnes lorsqu’elle a été annoncée. Et jusqu’à maintenant, on ne comprend pas comment une telle chose a pu arriver à un commandant de la gendarmerie. La piste d’un assassinat était plus fort que celle d’un suicide et de nouveaux éléments viennent corroborer cette conviction.
Il était sorti premièrement que l’autorité Kolding avait pointé son arme en direction de sa poitrine. Laquelle arme il nettoyait quand le coup de feu est parti accidentellement, l’atteignant mortellement.
Ensuite, d’autres sources ont sorti la possibilité que le défunt se soit lui-même donné la mort pour des raisons que celles-ci n’ont pas pris le soin d’évoquer. Il faut croire que ce n’est aucun de ces motifs qui est à l’origine de la mort du célèbre citoyen.
Le lanceur d’alertes Nzui a pu avoir une « information des services secrets de la résistance ». Il souligne sur les réseaux sociaux que « le commandant de la brigande de Tsinga ne s'est pas suicidé ni accidentellement tué avec son arme. Il a été abattu par ses collègues ».
L’informateur précise une chose accablante : « Étaient présents lors de l'assassinat : le commandant de Bankolo, deux (02) femmes, des gendarmes ».
On apprend aussi que « l'une des personnes présentes, un vigile a affirmé à la légion ce qui s'est passé. Le commandant Kolding Aristide a été abattu par ses collègues lors d'un règlement de compte ». La vidéo qui suit a été envoyée au lanceur d’alertes pour confirmation. Il y a du sang partout.