• 2 criminels redoutables sont abattus
• Ils prenaient en otage des commerçants contre rançon
• Ils ont été tué auc ours d’une opération de la BIR
Tous les jours pour le voleur et un jour pour le propriétaire, dit-on. Les commerçants dans l’Extrême-Nord pourront désormais pousser un ouf de soulagement.
Deux redoutables criminels de grands chemins ont été abattus par les éléments de la BIR ce lundi.
Ils venaient de prendre 'service' quand 'l'accident de travail' a eu lieu.
En effet, les criminels avaient pour habitude de prendre en otage des commerçants contre rançon mais malheureusement rien ne s'est déroulé comme prévu ce jour.
Ils ont été stoppés net ce lundi lors d'une opération engagée par le BIR.
Cameroun : 2 bandits armés ratent leur braquage et terminent dans le coma après une bastonnade
C’est ce que le lanceur d’alerte Nzui Manto qualifie d’accident de travail. A Makepe petit pays, 2 bandits armés ratent leur braquage et terminent dans le coma après une bastonnade nationale.
Djanka et son partenaire Tamunang, puisque c’est d’eux qu’il s’agit, comme d'habitude étaient allés dérober les bien des paisibles citoyens au quartier Makepe petit pays surnommé par ces derniers "le couloir du pour rien".
« Un schéma où la victoire semblait facilement acquise du fait de la taille du canon de leur pistolet tranquillement dissimulé dans leur short » , a écrit Nzui Manto.
« Les 2 joueurs ciblant le secteur vont repérer une proie sur laquelle ils vont se jeter exigeant dans les plus brefs délais l'apparition de l'argent et du portable », relate le lanceur d’alerte.
« Mais les schémas n'étant parfois pas une séance exacte, la victime va crier de toute sa gorge ameutant instantanément une foule de personnes qui aussitôt atterriront sur ces derniers les lattes, gourdins et parpaings en premier », ajoute Manto.
« Coincé sous une roue et écoutant la foule chercher de l'essence, Tamunang va discrètement composer le 113 et signaler à la police une attaque terroriste au lieu-dit "carrefour petit pays" », raconte-t-on.
Il ne faudra donc que quelques secondes pour qu’interviennent les forces de l'ordre sauvant ainsi les hommes d'une mort sûre par vindicte populaire.