C’est une information relayée par le quotidien Le Jour édition du 26 juillet 2017. Depuis deux jours la population de la ville de Maroua dans la Région de l’Extrême-Nord est prise de panique à cause des rumeurs d’attentats préparés par la secte terroriste Boko Haram. Ces rumeurs mettent en mal leur quotidien aujourd’hui rythmé par des contrôles et des rafles «gigantesques». Le journal rapporte par exemple que le 25 juillet 2017, le quartier Domayo en son lieu le plus fréquenté, était bouclé. «Les forces de maintien de l’ordre en tenue de combat ont réveillé aux aurores les habitants de ce quartier emblématique de Maroua. Par camions entiers certains ont été amenés dans des commissariats», raconte-t-il. Impossible d’avoir d’amples informations sur ce déploiement sécuritaire. Sinon des sources sécuritaires rencontrées par le quotidien, on apprend que les forces de l’ordre auraient eu des renseignements selon lesquels, des personnes suspectes seraient parvenues à entrer dans la ville. Celles-ci auraient en leur possession des colis suspects «pouvant être des explosifs ou des composants d’explosifs».
C’est une information relayée par le quotidien Le Jour édition du 26 juillet 2017. Depuis deux jours la population de la ville de Maroua dans la Région de l’Extrême-Nord est prise de panique à cause des rumeurs d’attentats préparés par la secte terroriste Boko Haram. Ces rumeurs mettent en mal leur quotidien aujourd’hui rythmé par des contrôles et des rafles «gigantesques». Le journal rapporte par exemple que le 25 juillet 2017, le quartier Domayo en son lieu le plus fréquenté, était bouclé. «Les forces de maintien de l’ordre en tenue de combat ont réveillé aux aurores les habitants de ce quartier emblématique de Maroua. Par camions entiers certains ont été amenés dans des commissariats», raconte-t-il. Impossible d’avoir d’amples informations sur ce déploiement sécuritaire. Sinon des sources sécuritaires rencontrées par le quotidien, on apprend que les forces de l’ordre auraient eu des renseignements selon lesquels, des personnes suspectes seraient parvenues à entrer dans la ville. Celles-ci auraient en leur possession des colis suspects «pouvant être des explosifs ou des composants d’explosifs». Le 24 lundi juillet 2017 Ernest Samuel Ebelle le Préfet du département du Diamaré a fait publier un communiqué radio disant ce qui suit «des contrôles d’une intensité particulière en vue du respect scrupuleux de la réglementation de crise prescrivant l’interdiction de la circulation des motos taxi à partir de 20 heures et la fermeture systématique des débits de boisson ainsi que des locaux à exploitation commerciale à la même heure vont s’intensifier dès ce jour». Dans le communiqué signé à la date du 19 juillet 2017 l’autorité administrative ajoute «en invitant les uns et les autres à une collaboration républicaine avec les autorités administratives et les forces de maintien de l’ordre, à l’effet d’éviter les désagréments fâcheux et les ennuis judiciaires susceptibles de naître du fait d’une résistance sous quelque forme que ce soit à l’observation de ces mesures, le Préfet compte sur le sens du civisme et de l’ordre de tous et de chacun».