Il y a quelques jours, les Camerounais découvraient sur des blogs les plus populaires sur la toile, l'identité de l'homme polygame qui est sur le point de faire de Nathalie Koah, sa troisième épouse.
Les internautes découvraient, dans ce que peut qualifier de cabale, plusieurs informations sur la vie privée de l'influenceuse sur les réseaux sociaux.
Ces informations étaient fournies par Fabrice, le petit frère toxique de Nathalie Koah. Allant même jusqu'à inventer des fausses histoires sur sa sœur, ce jeune homme fait dans le chantage. D'après certaines sources, sa sœur fatiguée de la vie que mène Fabrice, a décidé de ne plus céder aux chantages et de ne plus lui fournir de l'argent qu'il claque dans les snacks et boîte de nuits tout en refusant de travailler.
Une publication du lanceur d'alertes N'zui Manto permet de connaitre le vrai visage de Fabrice.
"Samedi le 20 avril 2024,à 11h 12 minutes j’ai été contacté par le frère de Nathalie Koah qui dans un message qu’il m’a fait parvenir déclarait avoir subi je cite « des violences physiques à la PJ de Bonanjo » suite à un différend familial impliquant sa sœur Koah qui aurait « brutalisé »leur maman. Exigeant des excuses de sa sœur à l’endroit de leur mère, elle aurait alors réagi en faisant appel à un commissariat qui l’a « battu à coups de marteau et menacé de mort » fin de citation.
À la suite de cette dénonciation j’ai demandé à mon interlocuteur s’il pouvait mettre à ma disposition les preuves de son récit (photos de ses blessures ou hématomes provoqués par les coups de marteau), preuve que la maman a été brutalisée. Demandes qui n’ont pas abouti. À ce dernier j’ai fait savoir que je ne relayais rien sans preuve, sans élément convaincant.
Je me suis néanmoins renseigné sur sa situation et ai découvert que Fabrice, puisqu’il s’agit de lui est connu de toutes les brigades et commissariats des villes de Douala et Yaoundé pour des cas d’escroquerie. À chaque fois sa sœur interpellée lors des plaintes par les créanciers de son frère a dû payer certaines de ses dettes pour lui éviter la prison. Fabrice a une dette de plus de 11.000.000 FCFA auprès d’un bailleur à Yaoundé et compte sur sa sœur pour régler ce montant. Suite à la fermeture de ses boutiques à Yaoundé sa sœur lui offert les meubles d’une valeur de près de 50.000.000 FCFA. Il était question en fasse bon usage afin de se prendre en charge. Le compagnon de sa sœur soucieux de sa situation proposera de l’accompagner dans un boulot qu’il au choix. Fabrice décidera alors que le boulot qui lui convient c’est une place dans la même entreprise que son beau-frère.
Le 31 décembre alors qu’il était enfermé en cellule et menacé d’un déferrement suite à une énième plainte pour escroquerie, sa sœur a une ixième fois payé sa dette et lui demander de s’installer chez elle à Douala provisoirement le temps qu’elle s’engage à lui faire voyager pour le Canada. Il prendra la peine de désosser le véhicule de sa sœur à Yaoundé et de vendre les pièces importantes avant de venir dans la capitale économique. L’argent qui lui a été remis quelques temps plus tard par sa sœur terminera dans les snacks de la ville. Plus tard sa sœur va donc se résoudre à fermer les robinets. Une décision pas du goût de Fabrice que va s’inviter à son domicile proférant des menaces y compris celles de s’en prendre à son intégrité physique.
Seule à la maison avec ses deux enfants, sa sœur craignant pour sa vie va appeler la police qui dépêchée sur les lieux s’est saisie de ce dernier le conduisant au poste. Sa sœur qui a été invitée par la police à faire une déposition s’y est rendue mais a refusé de porter plainte contre son frère pour ne pas chagriner leur mère.
À sa sortie, Fabrice s’est alors jurer de faire « tout perdre »à sa sœur qui vit désormais dans la terreur. Le petit frère pour se venger à contacté les blogueurs pour jeter à la vindicte populaire sa sœur d’ailleurs, on découvrira qu’il est la principale source d’information des blogueurs concernant la vie privée de sa sœur.
Fabrice a contacté sa sœur il y’a quelques jours et lui dresser une liste d’obligations et une forte somme d’argent que sa sœur devra s’acquitter pour « tout laisser tomber ».
Fabrice me rappelle un certain Yebel Landry à Yaoundé qui a assassiné sa grand-mère, assassiné sa mère pour de l’argent !
Les témoignages des Camerounais enlevés par les gendarmes et militaires contre des rançons continuent".