Faux milliardaire: les preuves du Feymania de Matomba publiée par son ex Dir de Campagne

Dans le cadre de la présidentielle de 2018, l'homme politique Serges Espoir Matomba s'était bâti une image de milliardaire, afin de se donner l'image de l'homme qui a déjà tout gagné et qui a tout à donner au Cameroun.

La vérité est que l'homme politique qui a encore déposé sa candidature pour la présidentielle de 2025, n'est pas le milliardaire qu'il prétend être.

Dans une publication, son ex directrice de campagne, Clarence Yongo qui n'a toujours pas été payée pour son travail, sort des éléments qui prouvent que Matomba (même si elle ne le cite pas nommément, mais ont sait tous que c'est lui qu'elle parle) est incapable de payer une facture de 1 millions de CFA, et a été obligé de payer peu à peu pendant des années. Incroyable!



"Me voilà dans mes démarches de sensibilisation sur les violences conjugales et je tombe sur une amie qui est du parti du politirien et pour une raison que je ne saurais donner, le milliardaire désargenté aurait déclaré m'avoir fabriquée.

Oui vous avez bien lu! Donc un type qui n'a aucune essence, un type néantisé par la truanderie me fait exister. Soit !

Il me souvient avoir eu une altercation avec le vigile de ses locaux parce que j'y allais pour dépôt des appareils qui avaient été mis à ma disposition pour un travail à venir. Il avait alors envoyé le message WhatsApp à mon vis-à-vis: "Ne prends rien" Allez savoir pourquoi!

C'est après coup que je me suis rendue compte qu'il avait été poursuivi par Jonathan Nti pour ces appareils (2 caméras, un camescope, clavier d'ordinateur…) qu'il avait pris en emprunt et n'avait pas réglé sa dette (1 million FCFA). Il avait fallu une plainte avec intervention d'huissier pour qu'il paie la première tranche (200 000fcfa) en décembre 2020 et la dernière en mai 2021.

Chaque fois qu'il me citera dans l'une de ses histoires insipides, je sortirai des preuves de son mensonge. Ça me permet de préparer le film que je ferai sur le sujet. Ci-dessous les photos du jour où je remettais les appareils".