Les diatribes de Salomon Beas sur les réseaux sociaux, depuis qu'il a rejoint les "Eglisiens" (soutiens de Samuel, Eto'o, lui ont valu des critiques de ses amis du Mouvement de la Renaissance du Cameroun (MRC).
Ces dernières heures, Beas et Fosting Nzodjou se sont attaqués à travers des publications à travers leurs pages respectives.
Ce jeudi 19 décembre, Fosting s'illustre à travers une publication à l'endroit de son frère du MRC.
"Salomon Beas bro je te connais bien. Et tu ne me connais pas.
Et avant de venir en publique bavarder, il faut savoir que certaines personnes te connaissent en privé. Tu devrais le savoir.
"C'est la première fois où je parle de quelqu'un qui m'attaque en public. Mais permettez que je réponde à 136 commentaires que ce monsieur à fait sur moi en 1 mois "
C'est toi en 2019, alors que je suis en Allemagne, qui est allé accompagner ma femme acheter un terrain de 26 millions a Makepe, puisque je n'étais pas disponible, j'ai demandé qu'elle t'appelle. En ce moment on ne parlait pas des terrains, tu n'étais même pas encore véritablement au MRC. La voiture dans laquelle ma femme t'a transporté pour aller gérer l'affaire du terrain coûtait 13 millions, c'était mon argent cherché à l'étranger... Et c'est avec cette voiture que j'ai fait l'accident sur la route de Yoko, en allant chercher les prisonniers politiques. Donc, 13 millions de perdu en un coup, en 2021. Tu crois avoir perdu que qui? Tu avais quoi ou tu étais quoi avant le MRC ? Je parlais de mes contrats et mes marchés que je suis entrain de perdre à cause de mes positions, mais que je ne vais pas céder.
Quand tu allais acheter ce terrain , Tu ne savais pas que c'était ma femme, et tu a commencé a faire ce que l'homme sait faire. Elle m'en a parlé, en homme j'ai demandé qu'elle reste calme, que nous les hommes sommes ainsi...
Et plus tard, tu découvres que c'est ma femme, et tu ne lâches pas, tu continues . Tu blagues je publie les messages ici.
Elle et moi sommes venu te chercher en prison, avec l'argent du vol... Et tu as pris.
2.
On peut prendre pour témoin ceux avec qui on était.
Le jour où on a fait la marche a Dokoti, 20 septembre, c'est de chez moi que nous sommes partis. Donc c'est chez moi qu'on a déjeuné... C'était un Duplex, construit avec la sueur de mon front, avant les affaires de terrain.
Tu nous a dis, avant notre arrivée sur le lieu de la marche, on peut témoigner, qu'il faut qu'on t'arrête, que nous devons nous cacher et te laisser arrêter. Tu voulais a tout prix te faire arrêter, Je sais pourquoi tu voulais qu'on t'arrête, pas bien de le dire en public.
C'est vrai que ça n'a pas marché comme tu as calculé, mais il ne faut pas tenir toute la république pour responsable. Tu voulais aller en prison pour des calculs, mais même la prostitué pour vendre ses fesses doit d'abord bien les laver.
Quand on t'a arrêté a Nokoti, je t'ai tiré, on m'a frappé et ce sont les autres qui m'ont conduit à l'hôpital, et tu ne te cassais même pas, tu venais de réaliser ton rêve. Je ne sais pas où tu voulais partir et qu'on t'a dit que passer par la prison c'est la solution facile.
Et étant encore en garde à vue, on à voulu te libérer, tu as refusé. Toi seul sait ce que tu es allé chercher en prison.
Tu dis que je t'ai dérangé en prison ?
Si tes ex camarades de cellules écoutent, même avec les points ils ont réagir. J'étais en prison presque chaque matin, avec des présents.
Ce sont ces présents que tu mangeais et que tu traites aujourd'hui de vol. Tu voulais être leader de 66 prisonniers alors que personne, même pas 5 prisonniers ne voulaient de toi comme leader.. Et tu voulais que je te donne l'argent et les cadeaux au lieu de donner à celui que les codétenus on choisi. Et même quand je donnais, par moment je te plais la main par derrière.
C'est à cause de toi que j'ai arrêté de venir en prison chaque semaine, puisque j'avais compris que je pouvais manger un jour le cube là-bas. D'ailleurs, je ne veux pas dire le jour où l'administration pénitentiaire m'a menacé, et on ne sait qui fournissait le renseignement.
Mec on ne force pas le leadership, on le construit.
Le poison c'est quand on insulte la nourriture d'une femme en mangeant...
Tu veux revenir sur fait qu'on t'appelle traître ? Si Tu ne l'es pas ? Est ce que tu es obligé de répondre partout ?
Je suis un homme courtois et éduqué, alors cher frère, il ne faut pas me pousser à tout verser dehors.
Quand on voulait faire les élections régionales au MRC, j'avais été invité par un responsable pour te soutenir et te conseiller, et je n'ai refusé, malgré que j'avais rappelé que tu n'es qu'un tas d'émotions et de compulsions. Mais pour le bien du parti, puisque ce sont les responsables qui me l'ont demandé, j'avais accepté. Malgré que tu sois en prison, on à fait des scéances de travail.
Je t'avais dit de ne pas mettre mon nom en public, puisque je voulais d'abord régler les affaires de terrain avant de revenir.
Après l'actuel Régional, le charismatique Massoma à posé sa candidature, j'ai laissé tomber parce que ce sera une folie de soutenir Célestin Djamen lorsque Maurice Kamto est aussi Candidat.
Quand on veut bavarder en public, on bloque ceux qui nous connaissent en privé, je te connais. Et tu blagues je continue.
Tu veux que je dise pourquoi tu as fais un mariage précipité avant d'aller te faire arrêter ? Ou tu crois que tout le monde est fou?
Cher jeune, il faut te calmer.
Tu veux que je raconte tout vraiment ?
Tu dis que le karma me fait payer le prix parce que j'ai eu les problèmes de terrain ? Je les ai réglé, pas parce que je suis fort, mais seulement pour ma bonne foi et ma détermination, Dieu ne pouvait faire autrement.
Même étant en prison, je crée de la richesse. Même malade je travaille l'argent et tu connais...
Tu croyais que j'allais caler dans dans l'affaire des terrains ? Tu me connais mal. J'ai réglé ça, n'en déplaise. Dis à ceux pour qui tu jubilais de venir chercher leurs terrains, que c'est fini.
Et tous ceux qui comme toi ont mangé mes 100f hier et participent aujourd'hui à tout ce qui peut me détruire, je vais vous exposer. Ce ne sont pas mes habitudes, mais la sagesse n'est pas un courant constant, parfois il faut un peu de folie pour traiter avec les fous.
Tu veux que je parle de celui qui fournissait le renseignement en prison ? Bref...
Mais pour toi, Beas, si tu as besoin d'un travail, viens je peux te trouver un poste chez moi.
Et si tu as déjà un boulot, il faut te concentrer, on ne construit pas sa vie en s'occupant des autres...
Le fait que je ne faisse pas de congossa ne fait pas de moi un faible, j'ai aussi des tonnes de dossiers sur les gens même comme je préfère laisser chacun dans sa vie. Mais si tu insistes, ceci est un début et pour les autres arrivent...
Si aujourd'hui la politique à ruiné mes affaires, il ne faut pas croire que je suis tombé au point de plus pouvoir me relever. J'ai tout fait pour ne pas répondre, mais je n'ai pas pu.
Bonjour Mon cher Beas, ce message est à réponse à une centaine de commentaires que tu fais jusqu'à sur ma page. Et si ça t'a blessé, je m'excuse.
À mes chers lecteurs, excusez moi d'être descendu bas, il le fallait..."