Homosexualité en prison : Maurice Kamto lavé de tout soupçon

• L’élection présidentielle de 2025, c’est bientôt

• Paul Biya fait beaucoup parler

• Mais Maurice Kamto aussi



Le leader du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC), Maurice Kamto est un opposant historique du Cameroun. A plusieurs reprises, il a essayé de battre le président Paul Biya aux élections présidentielles sans pouvoir y arriver. L’ancien membre du gouvernement aura une nouvelle occasion de tenter sa chance en 2025.

Cette fois-ci, tous les sondages le voient comme le grand favori, surtout que le leader du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC – parti au pouvoir), Paul Biya n’est plus jeune et que la guerre de succession à Etoudi déchire le palais.

Le secrétaire national à la communication du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC), Sosthène Médard Lipot voit Maurice Kamto comme l’homme de la situation : « Maurice Kamto est l’homme politique le plus populaire au Cameroun depuis bientôt une décennie », sont des paroles élogieuses que le militant a prononcées à l’endroit de Maurice Kamto qu’on accuse d’avoir démontré son homosexualité lorsqu’il était incarcéré à la prison centrale de New-Bell.

Le régime use et abuse de toutes les funestes entourloupes, de modes opératoires criminels pour tuer le redoutable homme politique qu’est devenu Maurice Kamto, non sans ourdir des complots d’élimination physique de celui dont des incrédules et aussi des adversaires se moquaient en septembre 2012 que les militants de son parti politique ne feraient jamais « le plein d’une cabine téléphonique ».

Ces ostrogoths ont une double caractéristique : 1- ils (elles) calomnient publiquement tout ce qui incarne la vertu au sein du MRC et s’acharnent sur chaque personne qui est l’incarnation de la probité morale et de valeurs républicaines ; 2- ils(elles) entretiennent « d’étroites relations » avec l’extrême-droite du principal parti administratif de l’ordre gouvernant, tout en côtoyant frénétiquement le leader charismatique qu’ils cajolent, et qu’ils entendent poignarder dans le dos, en minables traitres et copains de filous politiques des partis satellites inféodés au RDPC ».