René Emmanuel Sadi
La disparition de Martinez ZOGO est devenue une affaire d’Etat. Le ministre de la Communication René Emmanuel Sadi s’est fendu d’un communiqué qui n’a pas été du goût de plus d’un. Il a reçu une réplique de l’activiste Jean Jacques Ola.
« Le public a été informé de la disparition depuis quelques jours, de Monsieur ZOGO Martinet. Chef de chaîne de la radio urbaine dénommée Amplitude FM et animateur de l'émission quotidienne Embouteillages • bien connue. Les informations actuellement disponibles font état de ce que l'intéressé n'est présent ni à son domicile, ni à son lieu de service. Le Gouvernement suit cette situation avec tout l'intérêt qu'elle mérite. A cet égard, des instructions ont été données, afin que toute la lumière soit faite sur la disparition jusqu'à date, de Monsieur ZOGO Martinez. Au demeurant, c'est le lieu de redire que le Gouvernement a toujours eu à cœur de garantir le libre exercice de ta profession de Journaliste, dans le cadre et le respect des lois et règlements en vigueur, de l'éthique et de la déontologie qui régissent cette profession. Et dans cette perspective, le Gouvernement réaffirme que tout est et sera toujours mis en œuvre, pour préserver la liberté de la presse dans notre pays, en même temps qu'il en appelle au sens de responsabilité et au professionnalisme des journalistes, qu'exige l'exercice de leur noble métier », avait publié René Emmanuel Sadi
« Mieux de toi grâce aux décret présidentiel tu es à l'abri du besoin tes enfants avec.
D'ailleurs ton fils grâce à toi son papa chéri est sous préfet aujourd'hui bénéficiant lui même de la protection des agents de l'état payer par nous citoyens voilà pourquoi tu peux te permettre dans une situation aussi grave de venir nous parlé d'éthique et déontologie du journaliste alors qu'on te demande de dire à ta collègues du gouvernement d'interpeller les principaux suspects sur l'affaire Martinez ZOGO pour que l'enquête et les recherches avancent.
Monsieur le ministre sachez que le jour où ce que vous voulez là arrivera , vous allez fuir sans demander vos restes.La seule personne qui vous sauvé encore c'est la présence physique du chef de l'état celui qui vous a tous fabriqué.Faites moi confiance excellence le jour arrive lentement certe mais il arrive bien sûrement. », a répliqué Jean Jacques Ola
