Humiliation: un conseiller de Paul Biya lavé, rincé et séché sur la place publique

Dans une sortie médiatique jugée incongrue, Luc Sindjoun, Conseiller Spécial de Paul Biya depuis 2009, s'en prend à Maurice Kamto après le succès du meeting MK2025 de Paris. Cette attaque révèle l'émoi du régime face à la mobilisation de l'opposition, mais aussi les contradictions d'un homme accusé de dérives académiques et de pratiques douteuses, qui tente de redorer son blason en s'attaquant à celui que ses partisans surnomment

QUAND UN ANCIEN CONSEILLER SPECIAL DE PAUL BIYA À QUI ON NE DEMANDE JAMAIS DE CONSEIL VEUT EXISTER À TRAVERS LA LUMIERE, MAURICE KAMTO

Nommé Conseiller Spécial du président de la république le 30 juin 2009, Luc SINDJOUN a été rétrogradé par le décret présidentiel du 02 octobre 2015 à un des trois postes de Conseillers Spéciaux de Paul BIYA avec le Contre-Amiral Joseph FOUDA et Dieudonné SAMBA.

Au quartier, on aurait dit qu'il a de justesse été sauvé de noyade. Mais, comme il est sans dignité, il ne s'est pas révolté.

Il n'a pas démissionné en considérant que ce n'était point honteux de partager, même en troisième position, un poste purement protocolaire qu'il occupait seul au paravent. Un poste qui d'ailleurs est au demeurant uniquement utile en ville, dans les soirées mondaines et lors des grands funérailles de Baham, son village natal. Notamment, au moment de passer à table,

lorsqu'on sert à manger et du bon vin.

Il s'est dit, comme les intellectuels couards et pantouflards camerounais, les intellectuels qui laissent leur ventre commander leur tête, pour paraphraser Jean Calvin ABA’A OYONO lors du meeting MK2025 de Paris, que se strapontin lui permettait malgré tout de disposer d'un garde du corps, d'une voiture officielle, d'être servi en premier et surtout d'avoir les meilleurs morceaux de viande de porc à l'occasion des nombreux funérailles de Baham et lors des réceptions dans chefferies dans la région de l'ouest.

Ce sont ces apparences, fausses, de personnalité importante du sérail qu'il vend tel un feyman dans les milieux mondains, auprès des chefs et notables, des commerçants et hommes d'affaires de l'ouest qui ont poussé certains médias, dans lesquels il entretient à coup de faveurs de toute nature des admirateurs, à le présenter, à sa demande expresse quoique part la suite il a feind de se défendre vigoureusement, comme l'homme qui chuchotait aux oreilles sourdes de Paul BIYA.

À la vérité, plus que les autre Conseillers Spéciaux protocolaires de Paul BIYA, Luc SINDJOUN est à l'étroit à la présidence de la République où il sort à peine de son bureau.

Paul BIYA ne le sollicite jamais, même pas le directeur adjoint du cabinet civil Oswald BABOKE. Il est un véritable intrus, malgré les nombreuses années qu'il y a déjà passées.

Il s'occupe comme il peut en contrôlant les carrières de ses collègues des universités par toute sortes de manœuvres que la déontologie et la morale reprouvent.

Luc SINDJOUN porte, avec Jacques FAME NDONGO, la lourde responsabilité d'avoir dévoyé l'université camerounaise. A l'université de Yaoundé II, Soa, et dans toutes les facultés des sciences juridiques et politiques du Cameroun, dans plusieurs grandes écoles ( IRIC, ISMP, etc...), l'homme a développé des pratiques académiques et moraux contraires à l'image qu'il tente de donner de lui-même.

Pas besoin d'une très grande enquête dans les milieux universitaires camerounais et africains pour savoir qu'il a brisé tant de vies et de carrière sur l'autel de l'ésotérisme et de meurs pas très catholiques.

Voilà donc le sulfureux personnage, propriétaires de résidences au Canada et à travers le Cameroun, et notamment à Baham, acquis avec l'argent volé aux Camerounais; lui qui a désagrègé le concours CAMES avec des pratiques de villageois; qui, avec sa protégée, ont été mis en débet par le trésor public à cause de leur gestion libre à l'ISMP; qui par le trafic d'influence a illégalement obtenu en sous main, dans des conditions qui devront un jour intéresser le TCS, de nombreux marchés publics notamment à l'IRIC qu'il codirigeait à l'époque avec son ami très particulier Narcisse ciKOMBI MOUELE, et qu'ils avaient publiquement transformé en piège pour garçons; qui manipule, y compris par le vole des pièces des dossiers des enseignants, depuis plus de 20 ans avec la complicité de Jacques FAME NDONGO, et notamment ses complices de la porte 113 du MINSUP, les travaux du Comite Consultatif des Institutions Universitaires (CCIU), l'instance en charge des changements de grades des enseignants des universités;

qui a confisqué un couple dont l'epoux est un diplomate très ambitieux et pas jaloux pour un sous et l'épouse, une universaite aux dents très longues etc...... qui veut exister à travers la lumière de Monsieur Propre, le Souffle de l'Espoir de tout un peuple, le Pape du droit, et pas du Droit du Quartier, Maurice KAMTO.

Si Luc SINDJOUN veut se faire ridiculiser dans débat sans objet sur le mandat impératif /représentatif, qu'il demande un duel avec Wilfrid EKANGA, qui comme lui n'est pas juriste. Et s'il préfère plutôt être frappé d'AVC, qu'il monte en game et sollicite un débat avec le juriste, publiciste et constitutionnalite Jean Calvin ABA’A OYONO.

À travers une sortie incongrue dans le journal que seuls ceux qui detroussent les caisses de l'Etat derrière leur apparent soutient inconditionnel à un homme de 93 ans qui sollicite égoïstement un nouveau mandat présidentiel de 7 longues années alors que sa gestion de 43 précédentes années est un cataclysme, lisent, Luc SINDJOUN a osé.

Certainement le pouvoir lui a posé cette sortie car lui-même même sait que que lorsqu'on parle de Maurice KAMTO, il doit avoir la pudeur de la fermer.

La seule chose que l'on peut retenir de la mixture intellectuelle de Luc SINDJOUN parue dans Cameroon Tribune, la Pravda gouvernementale, c'est que le Grand Meeting MK2025 du 31 mai 2025 à Paris à plongé le régime BIYA-RDPC dans l'émoi, en pleures. Après Grégoire OWONA, Jean Dieu MOMO, la CRTV qui a convoqué au lendemain du Grand Meeting de Paris, pour interrogatoire musclé le représentant de l'union européenne au Cameroun, Luc SINDJOUN, à qui le tour ?

Par FOKO Lucas

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